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La peur… encore et toujours la peur

"Vous méritez mieux et surtout, vous avez droit à de vraies réponses, de vraies solutions"

« Errare humanum est, perseverare diabolicum »

Cela veut dire : « L’erreur est humaine, persévérer (dans son erreur) est diabolique », phrase attribuée au philosophe grec Sénèque.

 

En observant le comportement de nos gouvernants, notamment en Belgique, cette sentence vient immédiatement à l’esprit.

Que ce soit en Belgique, en France, au Québec, au Canada, les pays les plus obsédés par la certitude que seule une injection ARN/ADN considérée comme une vaccination peut sauver la population du SARS-CoV-2 et de ses variants, nous retrouvons toujours le même schéma anti-civid :

- Peur
- Culpabilisation
- Certitude d’avoir raison

Ce qui se passe ici est exactement ce qui se passe en France, au Québec, au Canada et dans tous les pays qui n’ont comme solution de sortie de crise que cette injection ARN/ADN à proposer à leur population.

Chez nous en Belgique, les ministres et spécialistes s’appellent Frank Vandenbroucke (ministre de la Santé), Elio Di Rupo (ministre-président wallon), Marc Van Ranst, Emmanuel André (virologues conseillant le gouvernement), comme au Québec il y a François Legault (Premier ministre), au Canada, Justin Trudeau (Premier ministre), ou en France, Jean Castex (Premier ministre) et Olivier Véran (ministre de la Santé).

Seuls les visages et les mimiques changent, sinon, c’est pareil, les mêmes paroles, les mêmes comportements, les mêmes consignes :

- Gardez vos distances
- Mettez des masques
- Vaccinez-vous
- Ayez peur

Ainsi, dans un journal belge du 21 octobre, monsieur Vandenbroucke nous invite à nous « préparer à affronter la quatrième vague ». Dans cet éditorial, ils se demandent : « La Belgique est-elle prête pour une quatrième vague ? ». Quant à Elio Di Rupo, il se fâche et insiste sur la nécessité de se faire vacciner car pour lui, « mourir libre, c’est mourir ».

Il faut dire que la troisième dose de vaccin n’attire pas les foules, chez nous.

Nos « spécialistes » depuis avril 2020 emboîtent le pas aux gouvernants, quand ils ne les précèdent pas, pour nous mettre en garde, nous dire que c’est loin d’être fini, maintenir le feu sous la casserole et nous garder dans la peur de ces virus décidément tenaces.

D’autres spécialistes, des médecins cliniciens rappellent dans un silence médiatique assourdissant que la peur est très délétère pour le système immunitaire.

La peur paralyse nos globules blancs et entrave nos réponses immunitaires adaptatives. Ce sont ces dernières que les injections ARN/ADN hâtivement qualifiées de vaccins sont censées stimuler.

Stimuler d’un côté, entraver de l’autre.

La psycho-neuro-endocrino-immunologie ou PNEI, une spécialité médicale en développement exponentiel, étudie depuis longtemps les interactions entre les systèmes nerveux, endocrinien (hormones) et immunitaire et souligne les influences réciproques profondes entre ces systèmes fondamentaux du corps humain.

De nombreuses études démontrent que le stress chronique peut supprimer les réponses immunitaires adéquates et/ou aggraver les réponses immunitaires inadéquates, excessives.

Les formes graves du Covid sont justement caractérisées par une réaction immunitaire excessive, allant jusqu’à l’orage cytokinique dévastateur pour nos organes.

Depuis mars 2020, depuis 19 mois, nos gouvernements et leurs conseillers, relayés par nos journalistes, sont stressants et n’ont décidément que ces armes pour transmettre un message aux populations : la peur, la menace, l’avertissement.

Ils usent et abusent du stress, largement devenu chronique, permanent et sans fin, bien plus délétère envers nos immunités que le virus lui-même.

Après 19 mois, il est certain que ces gouvernants, conseillers scientifiques et journalistes ne changeront plus, et qu’à moins de les remplacer par des personnes plus compétentes et au fait de ces connaissances, nous sommes condamnés à subir leurs prévisions angoissantes et leur mantra compulsif : « Vaccinez-vous », encore longtemps.

Ne se disent-ils pas, après qu’un si grand pourcentage de la population belge se soit fait injecter leurs produits (plus de 80 %), qu’ils aient pu se tromper, finalement ?

Ne peuvent-ils même envisager que cette compulsion pour la « vaccination » soit l’origine du problème, via la sélection de variants plus agressifs et la facilitation de l’infection par les anticorps ?

Les gens, les peuples ont droit à autre chose que ces discours angoissants et répétitifs aujourd’hui.

Après 19 mois, il faut envisager d’autres voies et les gens ont le droit de savoir que d’autres issues existent, comme de nombreux médecins le clament malgré la censure, malgré les dangers, malgré les menaces de mort ou de perdre leur emploi. La vérité n’a pas de prix et trouve toujours son chemin.

Le traitement du Covid même grave, existe et s’appelle ivermectine.

La prise d’ivermectine éviterait la flambée de formes symptomatiques et diminuerait fortement l’évolution vers des formes graves, ce qui soulagerait d’autant les hôpitaux et les services de soins intensifs.

Pour une raison « inconnue », il n’est pas « autorisé » d’en parler.

« Par exemple, Wikipédia ne peut pas mentionner les méta-analyses évaluées par des pairs du Dr Tess Lawrie ou du Dr Pierre Kory publiées dans l’American Journal of Therapeutics. Wikipédia n’est pas autorisé à publier la récente méta-analyse sur l’ivermectine rédigée par le Dr Andrew Hill. De plus, il n’est pas permis de dire quoi que ce soit concernant ivmmeta montrant les 61 études portant sur 23 000 patients qui révèlent jusqu’à 96 % de réduction des décès [prophylaxie] avec l’ivermectine. »

Nous ne sommes pas autorisés à expliquer aux gens comment l’ivermectine a endigué la pandémie de Covid en Inde ou en Afrique.

La littérature scientifique sérieuse appuie pourtant ces dires, en voici un échantillon :

La littérature examinée suggère qu’il semble y avoir suffisamment de preuves de la sécurité de l’ivermectine orale, ainsi que de l’efficacité du médicament dans le traitement précoce et la prophylaxie du COVID-19. [1]

Compte tenu de l’urgence de la pandémie actuelle de COVID-19, de la détection simultanée de diverses nouvelles souches mutantes et de la réémergence potentielle de nouveaux coronavirus, la réorientation de médicaments approuvés tels que l’ivermectine pourrait mériter une attention particulière. [2]

L’ivermectine joue un rôle dans plusieurs mécanismes biologiques, elle pourrait donc servir de candidat potentiel dans le traitement d’un large éventail de virus, dont le COVID-19 ainsi que d’autres types de virus à ARN simple brin positif. [3]

L’ivermectine comme traitement potentiel du COVID-19. [4]

L’ivermectine est également étudiée dans le cancer :

Il est intéressant de noter que l’ivermectine peut également inhiber les cellules souches tumorales et inverser la résistance aux médicaments. Elle exerce un effet optimal lorsqu’elle est utilisée en association avec d’autres médicaments de chimiothérapie. [5]

Si on a peur de l’ivermectine pour un quelconque danger imaginaire, alors on devrait avoir vraiment peur de la pénicilline et de l’aspirine. Et du paracétamol, alors là, encore plus ! Ceux qui ont peur de l’ivermectine, alors fuyez le paracétamol !

Depuis les débuts de sa prescription chez l’homme (années 1980), avec 4 milliards de prescriptions humaines à son actif, l’ivermectine a sauvé la vie de centaines de millions de gens !

L’ivermectine n’a jamais tué personne, contrairement à la pénicilline, l’aspirine, le paracétamol : chocs anaphylactiques, hémorragiques, insuffisance hépatique sévère vous menacent si vous prenez de la pénicilline, de l’aspirine ou du paracétamol.

Et avec l’ivermectine ? Quasi rien, aucun danger.

Vous pouvez être guéri en deux jours du Covid, c’est mon expérience clinique de terrain.

Je connais un jeune homme hospitalisé avec un masque à oxygène à 100 %. Il allait être intubé et transféré aux soins intensifs. Après deux prises d’ivermectine par voie orale, il était sevré de l’oxygène et pouvait rentrer chez lui.

Je connais des dizaines de cas dont le Covid d’allure pourtant sévère s’est amélioré sans nécessité d’hospitalisation après 2 à 5 prises d’ivermectine (12 mg par prise par voie orale).

Et le glutathion ?

C’est le roi des antioxydants. 81 000 articles scientifiques appuient son rôle de protecteur de l’organisme, en particulier de l’immunité.

Qu’attendent nos gouvernants, puisqu’ils se prennent pour nos médecins généralistes, et ces conseillers et experts pour nous pousser à prendre du glutathion, surtout en prévision de vagues et d’hiver ?

D’autant que des chercheurs ont bien montré que les produits expérimentaux ARN/ADN nommés « vaccins anti-COVID », déconseillés aujourd’hui par le créateur de cette technologie, entraînent un stress oxydant majeur avec vieillissement cellulaire accéléré, notamment des cellules immunitaires.

Booster nos réserves de glutathion devrait être notre priorité, plutôt que d’en bloquer la production par la prise de paracétamol !

Il faudrait s’orienter vers une prise d’1 Gr de glutathion par jour, en deux fois et en gélules gastro-résistantes, ou vers du glutathion liposomal en association avec de la vitamine C également liposomale.

Il est temps de réveiller le médecin qui sommeille en chacun de nous, comme les Grecs d’autrefois qui vouaient un culte à Hygée, la sœur de Panacée et la fille d’Esculape, dieu de la médecine.

Hygée soufflait à l’oreille de chacun les conseils de bon sens pour rester en bonne santé : repos, hygiène de vie, bonne alimentation, propreté, nature, méditation, usage des plantes et de médecine naturelle.

C’est pourtant un médecin intensiviste, anesthésiste spécialisé dans les techniques et médicaments de toutes sortes qui vous pousse dans cette voie.

Quittez le chemin conseillé par nos gouvernants, leurs conseillers et leurs journalistes : le chemin de la peur, de l’obsession vaccinale, de l’isolement social, de la sous-respiration et du stress sans fin.

Vous méritez mieux et surtout, vous avez droit à de vraies réponses, de vraies solutions :

- Renforcer votre immunité et vos niveaux d’antioxydants : vitamine C, zinc, sélénium et surtout, glutathion.

- Traiter le Covid avec l’ivermectine éventuellement associée à l’azithromycine.

- Éviter le paracétamol qui bloque le glutathion, et les inhibiteurs de pompes à proton qui altèrent votre microbiote (ensemble des bactéries utiles dans votre intestin).

- Se promener dans la nature vivante et respirer à pleins poumons.

Dr Pascal Sacré

 

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un complexe permettant notamment une supplémentation
en N-Acéthyl Cystéine et vitamine C, précurseurs du glutathion :

 

 

Sur le glutathion, voir aussi :

 






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33 Commentaires

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  • #2837668
    Le 3 novembre 2021 à 19:24 par flax
    La peur… encore et toujours la peur

    Voilà qui est bel et bon et qui veut aller là contre ? bien se nourrir en bio avec des renforts de vitamines en boutiques spécialisées , une vie douce et confortable exempte de soucis . . . bref avoir de l ’oseille car " les bonnes bourses font les bonnes santés " Mais voilà le contexte : flambée des prix alimentaires , planche à billets folle paupérisation galopante . Donc des pauvres se nourrissant par force de plus en plus mal et devant lesquels on agite un prétendu remède de masse : le vaccin magique ARN . . . à défaut de système immunitaire efficace lequel a été détruit par la malbouffe . . .

     

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    • #2837796
      Le Novembre 2021 à 05:04 par rester heureux
      La peur… encore et toujours la peur

      La foi et l’absence de peur face à un virus innofensif est le premier des remèdes , et si on évite la vaccination on met toutes les chances de son côté pour rester en bonne santé, même pauvre.
      Un mois de prise de 1 gramme de vitamine c par jour ça revient à même pas 10 euros si on a pas les moyens d’acheter des clémentines, perso tout mes sous passent dans les compléments, même si je bouffe principalement de la merde à côté faute de moyens.
      Et je suis en parfaite santé, zero chance sur 1 milliard que le parasite dicov et n’importe lequel de ses variants est le moindre accés à mon bien être physique et mental. Si l’ultra pauvre que je suis peut être en bonne santé, tout le monde peut l’être. C’est pas comme si on avait pas tout les moyens de connaître les moyens de l’être.
      Et même en cas de lutte du système immunitaire en cas d’infection parasitaire, ce qu’est très certainement le covid d’après des sources bien informées, vitamine c et gluthation , ou vitamine c et jus verts, ou vitamine c et acide nicotinique, précurseur du nad, plus transpiration, et surtout sérénité et conscience de l’immortalité de son âme. La mort reste avant tout une délivrance.

       
  • #2837691
    Le 3 novembre 2021 à 20:04 par Picaros
    La peur… encore et toujours la peur

    Je tiens pour acquis que la possibilité du traitement a été délibérément écartée, et qu’en réponse, de manière logique et naturelle, nous devons chercher à nous débarrasser des responsables de cette tromperie et de ses conséquences. Assez des protestations "sous les fenêtres de Véran" .

     

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    • #2838164
      Le Novembre 2021 à 17:13 par Domino
      La peur… encore et toujours la peur

      S’il n’y avait eu ne serait-ce qu’un seul traitement, l’AMM conditionnelle était impossible...

       
  • #2837714
    Le 3 novembre 2021 à 20:45 par Bernard Lapotre
    La peur… encore et toujours la peur

    Sénèque n’était pas grec mais romain né en Espagne.

     

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  • #2837720
    Le 3 novembre 2021 à 20:57 par Sedetiam
    La peur… encore et toujours la peur

    D’ici que les anti-oxydants deviennent des anti-occident (celui sous la coupe de la Bête)...

     

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  • #2837774
    Le 4 novembre 2021 à 00:50 par Simonpierre Delorme
    La peur… encore et toujours la peur

    Un bon vieux remède à l’ancienne qui ne coûte rien, à utiliser en cas de démarrage de grippe - que celle-ci soit étiquetée Covid ou pas - l’INHALATION ! Respirer de la vapeur d’eau bien chaude au dessus d’une casserole, avec ou sans mouchoir ou serviette sur la tête. 3 à 4 minutes (ça refroidit vite !), 3 ou 4 fois par jour et vous irez bien en 3 ou 4 jours. Quand j’étais petit on mettait de l’eucalyptus dans l’eau mais la médecine a découvert que cela ne sert à rien car c’est le HSR (Heat Shock Response - Réaction au choc thermique) qui annihilerait le virus dans les cellules impactées par la chaleur. On peut acheter des inhalateurs en pharmacie pour quelques euros. Les sceptiques peuvent consulter les études scientifiques disponibles en googlant " Heat Shock Response" sur "Google Scholar" comme Elevated temperature inhibits SARS-CoV-2 replication in respiratory epithelium
    independently of the induction of IFN-mediated innate immune defences ou bien Steam inhalation therapy found to inactivate SARS-CoV-2 virions (https://www.news-medical.net/news/2...) et des tas d’autres études puisque cette thérapie simple et gratuite est utilisée aujourd’hui en Inde et en Chine avec succès pour des centaines de millions de gens.

     

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  • #2837840
    Le 4 novembre 2021 à 07:45 par Cyprien
    La peur… encore et toujours la peur

    Tout d’abord une précision : il semblerait effectivement qu’il fut une période durant laquelle en France tout du moins "l état profond " qui nous veut que du bien avait interdit aux médecins de prescrire de l’ivermectine à leurs patients.
    Il me semble même qu’en Martinique les autorités ont raflé toutes les boîtes d’ivermectine dans les pharmacies de l’île . A vérifier.

    Aujourd’hui cela n’est plus le cas ,du moins pour la France.
    Personnellement j’ai demandé à un médecin que je connaissais qu’il me fasse une ordonnance pour de l’ivermectine ;ce qu’il a fait bien volontiers.
    Ensuite je me suis rendu tout simplement chez mon pharmacien qui m’a délivré une boîte .
    Afin d’assurer le coup je me suis rendu dans plusieurs pharmacies différentes, Lille, Cagnes -sur-mer ,Paris ,etc et je leur ai posé la question suivante à savoir : si je viens avec une ordonnance de mon médecin ,pourrai- je avoir une boîte d’ivermectine .
    Tous m’ont répondu par l’affirmative.
    La seule et unique condition - actuellement - pour se faire délivrer de l’IVERMECTINE est d’avoir une ordonnance .

    https://www.lci.fr/sante/covid-19-d...

     

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  • #2837857
    Le 4 novembre 2021 à 08:19 par Ornega
    La peur… encore et toujours la peur

    Ce qui est créé dans ce monde par la peur appartient à ce monde et, dans le désarroi, le diable maître des lieux vous répondra : "I want my money back !".

     

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  • #2837884
    Le 4 novembre 2021 à 08:53 par nico
    La peur… encore et toujours la peur

    Cela saute aux yeux que c’est un agenda qui est suivi et que cela n’a rien a voir avec cette pseudo pandémie, plus rien ne tiens la route , et d’ailleurs ils en ont plus rien a foutre de justifier leurs contractions et de leurs incohérences.

    On est passé, avant que le virus arrive en Europe, de " il ne faut rien changer, ne prendre aucune mesure de précaution car il n’y a aucun danger " ,
    à : il faut changer l’humanité , piquer tout le monde de force et prendre des mesures de précautions jusqu’à la fin des temps ,après avoir tout fait pour que le virus arrive chez nous.

    Il s’agit de manière évidente de mettre en place des mesures décidés ailleurs en d’autres temps par d’autres personnes dans lesquels les dirigeants les plus malfaisants des pays les plus corrompus sont partie prenante

     

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  • #2837912
    Le 4 novembre 2021 à 09:57 par alex1737
    La peur… encore et toujours la peur

    Sénèque n’était absolument pas Grec mais Romain (d’origine espagnole), contemporain du Christ, même s’il a été éduqué effectivement en partie selon les principes classiques des grands auteurs et penseurs grecs, en tant que fils de bonne famille romaine.
    Un des fondateurs du stoïcisme tel que nous le connaissons aujourd’hui également, par des traités comme "la brièveté de la vie". A mal fini d’ailleurs, tombé en disgrâce et agonisant pendant des heures après une TS ratée...

     

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  • #2838180
    Le 4 novembre 2021 à 17:34 par VORONINE
    La peur… encore et toujours la peur

    L’ivermectine est aussi utilisée en médecine vétérinaire ....SAIT ON JAMAIS

     

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