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Il faut obligatoirement une JUSTICE pour tous , ceux qui nous ont imposé ,de faire des emprunts aux Rotschild Rockefeller ,alors que nous avions notre Banque de France
Napoléon avait prévu ,
Lorsqu’un gouvernement est dépendant
des banques pour l’argent Ce sont ces derniers ,et non les dirigeants qui contrôlent la situation,puisque la main qui donne est au dessus de celle qui reçoit ,l’argent n’a pas de Patrie ,les financiers n’ont pas décence ;leur unique objectif est le gain
la Banque de France creee sous Napoleon était une entreprise privée. Elle prêtait à l’Etat moyennant un intérêt. Elle avait, par contre, la garantie de l’Etat (elle fait faillite = l’Etat paye les créanciers de la banque) et uen situation de monopole pour certaines activités. C’est la même illusion qu’avec la Réserve fédérale, où le nom fait penser qu’il s’agit d’une banque publique. Un exxemple de manipulation par la langue 150 ans avant le livre d Orwel. Idem pour la Banque d’Angleterre.
Ce n’est qu’après la 2eme gm qu’elle est nationalisée.
Avec ce lien son histoire. Et les textes des différentes lois ayant affecté son statut : difficile à lire mais info sûre :
http://www.banque-france.fr/la-banq...
Faut-il préciser que ces banques sont privées, le capital français est privé et donc fictif.
La France n’est pas maîtresse de son argent.
Oui, enfin, aujourd’hui n’est plus à l’information mais à la propagande...
L’ultime de la production économique, alimentaire, et pharmaceutique... ?
Une fin des temps en son et image de la psychologie... ?
http://www.dailymotion.com/video/x8...
Vite ! à votre ordonnance du Dr M’Foudi...
L’idéologie vient après le besoin du capital financier pour justifier dans la théorie les attaques contre le salaire ouvrier afin de contrer la baisse tendancielle du taux de profit. Les pratiques illégales visent à gagner encore plus d argent par la fraude mais ce n est pas une caractéristique de la dérégulation : l emploi de salariés non déclarés en est une en période « régulée ».
L abus de faiblesse (les subprimes) est un classique de la sphère commerciale , de ce point de vue seule l ampleur de la prédation distingue cette période du cours normal des choses dans la capitalisme.
Les fraudes en matière financière sont une extension des fraudes commerciales ordinaires : les tromperies sur la marchandise, les manipulations sur les contenus , poids et nature du produit. Qu il s agisse des camouflages du contenu des CDO, des banques jouant contre leurs clients , des ententes délictueuses du LIBOR , de la complicité des agences de notation.
Le fait de payer contre l amnistie des délits n est pas une invention du système juridique américain. Combien les industriels de l’amiante ont-ils payé pour la réparation des dégâts commis ? Combien paient les pollueurs industriels , du pétrole , du nucléaire etc ? Rien ou des amendes et réparations ridicules eut égard au préjudice commis, en France par exemple où les actions collectives (class actions) ne sont même pas autorisées contrairement aux Etats-Unis !
La corruption des politiciens n est pas un phénomène américain , elle n explique rien . Contrairement à la France les lobbies ont pignon sur rue mais les nôtres pour être plus dicrets n en sont pas moins efficaces. Ce technicien veut moraliser le capitalisme financier , toujours les mêmes vieilles lunes . Il ne s agit pas de morale ( laquelle ?)mais d’intérêt de classes et de rendement du capital suraccumulé qui migre dans la sphère financière faute de débouchés à haut rendement dans l’industrie.
Est-ce que Jean-François Gayraud a prévu la crise ? Non, sinon ça se saurait. Les économistes qui n’ont pas vu venir la crise n’y ont jamais rien compris et n’y comprennent toujours rien. Ils sont tous des keynésiens qui pensent que les décisions humaines peuvent se quantifier, que l’économie peut se mettre en équation et que leurs ’modèles’ peuvent prédire son comportement.
Il nous explique par exemple que les banques auraient incité les gens à s’endetter. Mis à part que c’est le principe même d’une banque, il oublie de mentionner les lois qui obligeaient les banques à prêter à des gens sans revenu suffisants, voire sans revenus du tout et il oublie aussi de nous dire où est-ce que ces banques ont pu trouver autant d’argent à prêter et à si bas coût. En réalité, la bulle immobilière est le résultat d’une décision politique qui a été de vouloir permettre à tous les américains de devenir propriétaires en faisant tourner la planche à billets de la FED. C’est aussi la décision politique de vouloir éviter les conséquences de la bulle internet qui a éclaté en 2000 en créant une nouvelle bulle pour la remplacer. La récession lente et pénible qui s’en est suivie est le résultat aussi de la décision politique d’essayer d’empêcher la correction des erreurs, d’essayer de sauver ceux qui avaient commis ces erreurs et d’essayer tout simplement d’amortir l’éclatement de la bulle.
Il faut arrêter d’écouter les explications de la crise faites par ceux qui n’y ont vu que du feu. Il y a des tas d’économistes qui l’ont prédite des années à l’avance et qu’on n’a toujours pas pris le temps d’écouter. D’ailleurs, je sais que Delamarche et Myret Zaki les écoutent et c’est pour cela que leur analyse est plus saine.
1. Il l’avait anticipé, comme beaucoup. Ce ne sont pas ces personnes qui passent dans les médias " mainstream " et ils n’y passeront jamais. Que cela vous chagrine soit, mais cela n’a aucune importance : quand on cherche, avec droiture d’intention et humilité, on trouve toujours. " Quand je veux m’informer, je lis Saint Paul." Léon Bloy.
2. Lisez ses livres avant d’écrire des sottises sur son compte. En aucun cas M. Gayraud ne peut être rangé dans la catégorie d’imbéciles dans laquelle vous le jetez !
pour ce qui est de citer les lois qui permettaient ( et non pas obligeaient )au banques de préter il y répond sous forme d’une question qu’il formule presque à la fin de son intervention ,il suffit d’écouter attentivement
je ne sais pas si il avait prévu la crise mais en tout cas tous ceux qui l’annonçaient n’etaient peu ou pas du tout relayés par les médias traditionnels
Typique d’un free marketer d’oublier l’annulation du GlassSteagall au USA en 99 ou encore les CDS hors bilan dont Blythe master s’excuse avec un "mais je pensais que les banques étaient esen amont moi ouhiiiiin". C’est encore plus typique du franchouillard avec les ratios bancaires fonds propres/actifs les plus désastreux au monde sur le modèle de la finance folle anglosaxonne (l’élève a dépassé le maitre). Comme si les 30 glorieuses avec le plus grand marché de consommateurs sans dette publique n’avait pas été un succès...
Bon, j’ai pas envie d’ faire le gamin, mais pour répondre à sa dernière question (et par répercussion à toutes celles qui sont posées en amont), il nous suffit de savoir que tous les conseillers en finance jusqu’au responsable du trésor nommés par Obama sont des anciens de la Goldman Sachs. Quand on a dit çà, on a dit l’essentiel je crois.
bonjour
Tous ces gens ne sont pas des couillons, ils sont même très intelligents . Ils ont choisi leur camp, celui de l’esclavage salarié plus ou moins "civilisé" .On ne peut pas "réformer-moraliser-rendre-plus-juste" le système capitaliste ,on ne peut que faire payer la ( les) crise(s) aux populations , de préférence salariées . Douloureuse qui l est d autant plus que la crise est profonde. Nous y sommes , ça va faire mal et longtemps-je pense au chômage permanent et à la dévaluation qui nous pend au nez. La classe politique est passée du côté du capital financier , de l ultra libéralisme , de la dérégulation généralisée , de la concurrence sans règle ...pour les salariés surtout , cf l’immigration ! Il faut abattre ce système et passer au socialisme (démocratique) vite ! Cela implique nationalisations ET prise en main immédiatement non par des "experts" mais par le peuple pas par une autre bureaucratie politique ou syndicale. Direction centralisée décentralisée par des élus amovibles et payés au niveau d’un salaire ouvrier .Sinon c est la barbarie !
et 
!