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Les Etats-Unis accélèrent le déploiement d’un porte-avions et de son escorte au Moyen-Orient

La marine américaine va accélérer le déploiement d’un porte-avions et de son escorte au Moyen-Orient pour faire face aux tensions dans la région, notamment en Iran et en Syrie, a affirmé lundi le porte-parole du Pentagone, George Little.

Le secrétaire (à la Défense Leon Panetta) a approuvé en fin de semaine dernière la requête du Central Command afin d’accélérer de quatre mois le déploiement de l’USS John-Stennis, a déclaré M. Little à des journalistes.

Le Centcom est le commandement américain responsable du Moyen-Orient, qui s’étend de la mer Rouge au Golfe et à la partie occidentale de l’océan Indien.

Ces dernières semaines, l’USS Abraham-Lincoln et l’USS Enterprise se trouvaient dans cette zone.

Le Lincoln a passé lundi le canal de Suez vers la Méditerranée, a annoncé la Marine américaine. Il doit être remplacé dans les prochains jours par l’USS Dwight-Eisenhower.

Actuellement en Méditerranée orientale, l’Eisenhower aurait dû se retrouver seul dans la zone après le départ de l’Enterprise, qui sera finalement remplacé à la fin de l’été par le Stennis, selon George Little.

La politique du Pentagone est de maintenir en permanence une moyenne annuelle de 1,7 porte-avions dans la région dépendant du Centcom, sur les 11 de l’inventaire américain. Depuis début 2012, deux porte-avions se sont toujours trouvés sur zone, signe des tensions dans la région, que le déploiement accéléré du Stennis ne fait que confirmer.

Le John-Stennis avait rejoint son port d’attache de Bremerton (Etat de Washington, nord-ouest) seulement en mars, après huit mois de déploiement. Au début de l’année, l’Iran avait menacé de s’en prendre aux navires militaires américains qui repasseraient le détroit d’Ormuz après que le porte-avions eut croisé dans le Golfe.

Plusieurs navires, dont des porte-avions, sont depuis retournés dans le Golfe sans que Téhéran ne réagisse mais les tensions restent fortes et les Etats-Unis ont renforcé de manière significative leurs moyens militaires dans la région, notamment en matière de lutte contre les mines.

Le détroit d’Ormuz est un goulet stratégique par lequel transitent 40% des exportations mondiales de pétrole par voie maritime. Leon Panetta a averti que son blocage constituerait une ligne rouge pour les Etats-Unis.

 






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9 Commentaires

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  • Qu’on nous fasse plus croire que la Guerre Froide n’a pas recommencé..
    On le voit sur la Syrie et l’Iran.
    C’est précisément dans c’est moment là que la France devrait, doit, être indépendante. il faut sortir de notre soumission via l’OTAN aux intérêts américains.

     

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  • Un porte-avion pour combattre des mecs en sandales et Kalachnikov ? Là, je crois que ça devient vraiment sérieux.... Le mur n’a jamais été aussi près.
    Reste à savoir qui va s’écraser contre, le premier....

     

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  • Honte à Mr Hollande et à son gouvernement .... on va payer un jour ou l’autre notre soutien au yankee et à l’empire en général.........
    Je suis pour un coup d’état militaire en france pour se sortir des griffes des marchés , du sionisme et retrouver notre indépendance totale .....

     

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  • LE JAPON A TIL ETE PUNI POUR SON AIDE A L IRAN ?????

    Fukushima : Un 9/11 pour ses relations avec l’Iran ?

    Le journaliste indépendant Jim Stone présente des preuves convaincantes que l’histoire officielle qu’on nous a raconté, concernant la catastrophe, est une dissimulation pour une attaque concertée contre le Japon, peut-être pour son offre d’enrichir de l’uranium pour l’Iran. Le Japon n’a pas été frappé par un séisme de 9,0. Un rapport revendique qu’un false flag d’armement nucléaire a en fait détruit Fukushima.

    Michel Dogna cité par Wikistrike choisi de publier une traduction de cet article de Natural News dans le but principal de remettre en question la version officielle relayée par la presse mondialiste, en plus de démontrer la pertinence du raisonnement qui suit.

    UN REEL SEISME FORCE 9 AURAIT NIVELE LE PAYS TOUT ENTIER

    Considérons d’abord l’impact massif d’un véritable séisme de magnitude 9 qui aurait été environ 1000 fois plus puissant que le séisme de magnitude 6,8 de Hanshin en 1995 qui a détruit une grande partie de la ville de Kobe, située à environ 12,5 miles de l’épicentre, et qui a tué plus de 6400 personnes. Si le tremblement de terre du 11 mars au Japon avait été en fait de magnitude 9, il aurait tout dévasté dans un rayon de 1 000 miles à partir de l’épicentre – et pourtant la ville de Sendai, par exemple, qui n’est qu’à environ 48 miles de l’épicentre, n’a subi pratiquement aucun dégât. D’après l’étude de Stone, la dimension du tremblement de terre qui a frappé au large des côtes du Japon avait seulement une magnitude de 6,67, selon certaines lectures.

    Mystérieuse explosion du réacteur 4 vidé de son carburant

    Et qu’en est-il de la mystérieuse explosion du réacteur 4, qui s’est produite en dépit du fait que le réacteur avait été vidé de son carburant, et était soi-disant non opérationnel ? Même dans le pire scénario où ses barres combustibles auraient complètement fondues, le type d’explosion qui suivrait ne serait pas capable de littéralement désintégrer les épais murs de béton du réacteur 4, ce qui s’est produit Et le réacteur a été si endommagé par cette explosion qu’on s’attendait à ce qu’il s’effondre littéralement.

    Donc qu’est-ce qui a causé ces explosions massives dans les réacteurs 3 et 4 ? Selon Stone, un armement nucléaire a été utilisé pour démolir de force ces structures.

    Magna BSP, une entreprise de sécurité, a installé « des caméras de sécurité » massives à l’intérieur des réacteurs avant la catastrophe. Les caméras pesaient plus de 1000 livres (500kg), et semblaient étrangement similaires à des armes à uranium du type des bombes atomiques

    Lorsque vous mettez tout ça ensemble, il semble que des armes nucléaires déguisées en caméra de sécurité pourraient avoir été utilisées pour faire exploser les réacteurs de Fukushima.

    Peut-être que c’est ce qui explique le black-out de l’information sur le réacteur 4 qui s’est produit dans les jours suivant la catastrophe ?

    Ajoutez au mélange un tsunami induit par des armes nucléaires et le tremblement de terre correspondant, et vous avez le bouc émissaire idéal pour prendre délibérément pour cible une installation nucléaire et en attribuer la responsabilité à des causes naturelles.

    Analyse critique et théorie du complot

    La Résolution sur l’environnement, la sécurité et la politique étrangère de l’Union européenne, a été publié le 14 janvier 1999. Ce rapport, qui décrit différents types de menaces d’armes, contient une section intitulée « HAARP – Un système d’armement modifiant le climat. » (…)

    « HAARP peut avoir de multiples applications. La manipulation des particularités électriques de l’atmosphère permet de contrôler des énergies gigantesques. Utilisée à des fins militaires contre un ennemi, cette technique peut avoir des conséquences terribles. HAARP permet d’envoyer à un endroit déterminé des millions de fois plus d’énergie que tout autre émetteur traditionnel. L’énergie peut aussi être dirigée contre un objectif mobile, notamment contre des missiles ennemis.

    Plus tard, les références à HAARP le décrivent comme « un sujet d’inquiétude mondiale, » et soulignent que la plupart des gens ne savent même pas qu’il existe. Évidemment, cela a été écrit il y a plus de dix ans – et pourtant rien n’a vraiment changé depuis, en dépit de plusieurs efforts visant à rendre HAARP plus transparent. Seulement, si HAARP aide vraiment à induire quelques unes des catastrophes d’apparence naturelle qui se produisent dans le monde, il ne surprendra guère que ce dessein soit toujours gardé essentiellement secret.

    Benjamin Fulford a publié à l’époque un article sur l’origine du séisme et du tsunami. De mémoire, il a écrit qu’on avait fait exploser des bombes atomiques sur la ligne de faille pour déclencher le séisme. La direction de propagation du tsunami, uniquement vers le Japon, tendait à démontrer ce fait (il est vrai qu’il est assez curieux que la vague n’ait pas été aussi haute dans toutes les directions).

    Stuxnet ne sabote pas que des installations iraniennes

    A l’été 2010, on a appris que les installations nucléaires iraniennes avaient dû être mises hors service à la suite de graves problèmes. En septembre, il était devenu évident que ces perturbations avaient été provoquées par un virus informatique qui avait été développé grâce à un savoir-faire technique considérable et à une précision militaire. La « Frankfurter Allgemeine Zeitung », dans un article du 22 septembre intitulé « Der digitale Erstschlag ist erfolgt », parvenait à la conclusion que la sophistication de « Stuxnet » montrait qu’il ne pouvait être l’œuvre de « pirates amateurs ou de cybercriminels minables » : « La mise au point et l’achat des composants de cette qualité et de cette fiabilité ont coûté une somme à 7 chiffres. A plusieurs niveaux, Stuxnet se répand de manière absolument fiable et clandestine. »

    Source : faz.net

    Pour les experts, il était clair dès le début que le virus avait dû être développé par d’importantes équipes de spécialistes de diverses disciplines pendant des mois, voire des années. Seuls les pays leaders en matière de haute technologie entraient en ligne de compte. Après l’analyse du code source, les premiers indices de l’origine du virus ont été rendus publics dans le monde des spécialistes : il pouvait s’agir d’Israël ou des Etats-Unis.

    Source : computerworld.com

    En janvier 2011, ce soupçon a été corroboré par un article du « New York Times » selon lequel des Israéliens et des Américains avaient mis au point le virus ensemble et l’avaient même testé dans l’installation nucléaire soigneusement verrouillée de Dimona dans le désert du Néguev.

    Les experts de Dimona derrières le drame ?

    Une aide du Japon à l’enrichissement d’uranium au bénéfice de l’Iran serait la cause de l’infiltration seulement 4 mois plus tôt, d’une équipe d’une douzaine de techniciens en provenance de la base nucléaire militaire de DIMONA en Israël. Sous couvert de mise en place d’un système de sécurité et de contrôle plus moderne, ils installèrent entre autres des super-cameras. Cette équipe quittera le site seulement une semaine avant le drame…. !

    Que constate t-on ? :

    1) le réacteur 3 est complètement absent du tableau, ce qui signifie que la presse et autres qui ont donné des informations précises sur le réacteur n°3 après le 14 mars, mentent. Le public doit rester vigilant sur cette dérive pour ne pas laisser la porte ouverte à un nouveau drame.

    Un problème avec les déclarations des médias dominants, c’est qu’elles ont évité d’expliquer à quel point les structures de confinement étaient vraiment massives et puissantes, comme on le voit sur différentes photos. Une explosion d’hydrogène aurait pu seulement souffler les tôles de la structure du toit en acier. A Three Mile Island la combustion d’hydrogène n’a rien fait du tout. A part effrayer les employés. Une autre chose dont le rapport n’a pas parlé, c’est la gravité du désastre. Comparez le schéma de confinement avec ce qui reste du réacteur 3. Il est malheureusement évident que des tonnes de plutonium hautement radioactif, placés dans les piscines de confinement, sont introuvables la totalité de la surface où elles se trouvaient a complètement disparu. On nous a menti aussi à ce sujet.

    2) Le réacteur 4 correspond au building 7 démoli par des explosifs. Ce réacteur était en entretien, on l’avait déchargé de son uranium et on procédait au remplacement interne de pièces d’acier inoxydable, et pourtant tout a été soufflé ?

    C’est une gageure qu’une telle explosion puisse avoir eu lieu. Quant aux piscines ouvertes contenant du combustible, même surchauffées elles ne peuvent produire de l’hydrogène car l’eau s’évapore au fur et à mesure et ne peut donc se pressuriser à la température nécessaire de 2000° pour libérer l’oxygène des barres de Zircon. Les tiges préfèrent alors l’oxygène de l’air. De plus la teneur en matière fissible ne permettait pas d’atteindre la criticité dont a parlé Arnie Gundersen, dans son rapport, dont l’imposture est flagrante pour cacher l’ampleur de la catastrophe. Ses déclarations défient les lois de la physique, et empêchent les questions sérieuses d’être posées. Pourquoi Gundersen passe t-il sous silence la disparition du réacteur n°3 ? Qu’est-ce qui l’a fait disparaître alors qu’il pesait plus d’un million de livres, où est-il passé ?

    Le réacteur 4 semble avoir été mis en pièces. Le dôme jaune qui devrait se trouver sur le dessus du réacteur peut être clairement observé du mauvais côté de l’enceinte de confinement. Ce type de destruction est indicatif de la puissance de l’armement mis en action pour obtenir ce résultat. Un simple mélange d’hydrogène et d’air ne pourrait en aucun cas produire cet effet. Les réacteurs ne sont pas fabriqués avec des feuilles d’aluminium... En plus de cela, il n’y avait en fait aucun potentiel pour une quelconque explosion du réacteur 4 puisqu’il était à cette période déchargé de tout combustible. ALORS QUOI ? Dites-moi, je vous prie, il a explosé TOUT SEUL ?

    3) Une destruction aussi totale n’est réalisable qu’avec une charge nucléaire adaptée (nukes).

    L’hydrogène produit une signature subsonique particulière et ne peut pulvériser le béton. Sa pressurisation pouvait se libérer facilement par la structure du toit qui aurait servi de soupape. Or il faut une intensité bien au delà du supersonique pour souffler le béton de ses armatures comme ce fut le cas. Tout le contraire de l’histoire officielle. Si l’on place l’image d’une voiture sur la photo du réacteur, les colonnes des murs dépassent les 4 mètres d’épaisseur. C’est une sécurité supérieure à la norme standard dite MARK1, spécialement étudiée pour prévenir les pires explosions d’hydrogène.

    4) Ces armes nucléaires placées dans l’enceinte même, se trouvaient dans les super-caméras installées par la firme Magna BSP d’Arava(district de Dimona).

    Des caméras de plus de 500 kilos, de la taille et de la forme d’une charge potentielle dite de pistolet atomique. Magna BSP s’est justifié de cette bizarrerie sous prétexte d’une technologie stéréoscopique, plausible pour des champs de vision profonds (type aéroport), mais hors propos dans les enceintes. Et même, cet objectif est très facilement réalisables avec plusieurs caméras de quelques kilos seulement. En fait, un cadeau empoisonné ! On peut super-miniaturiser les charges nucléaires, mais elles produisent d’autant plus de chaleur suspecte, plus facile à dissimuler dans un appareil de taille importante. Cette contrainte technique incontournable explique la taille du système choisi et de l’histoire racontée. (Y a-t-il eu des complicités internes ? On peut le présumer).

    LE JAPON A REELLEMENT ETE PRIS EN OTAGE !

    1°- Le Japon propose d’enrichir l’uranium pour le compte du "grand Satan" ennemi d’Israël, l’Iran. (En admettant que cette hypothèse soit la bonne, cela n’est guère concevable sans l’accord des USA. Ce qui constitue alors un exemple supplémentaire de la perfidie utilisée pour que le piège fonctionne. Un piège forcément préparé longtemps à l’avance, comme pour le 9/11. Ndt).

    2°- Israël monte donc une société écran spécialisée dans la sécurité des centrales nucléaires, qui réussit facilement à décrocher un contrat à Fukushima (probables complicités gouvernementales. Ndt). 4 mois plus tard une équipe de 12 personnes débarque et obtient un accès illimité au cœur des installations. Ils implantent le virus et installent des caméras à l’extérieur puis dissimulent des charges atomiques miniaturisées à l’intérieur même, habillées en super-caméras de 500 kg soi-disant nécessaires techniquement. Enfin, ils mettent en place une connexion internet non autorisée qui permet de prendre le contrôle via le virus stuxnet, sur tous les systèmes internes.

    3°- Après ça ils disparaissent !

    4°- Les ondes scalaires de HAARP, pulsées par le centre de Gokona en Alaska ou d’ailleurs, programment le séisme pour une date anniversaire (311/911), façon de dire qui est le maître absolu de ce petit jeu déshumanisé. L’objectif est dans un premier temps de justifier l’existence du tsunami provoqué par des charges atomiques sous-marines. Un tsunami au comportement très "bizarre", qui couvre la falsification en force 9 du séisme (confusion quant à la cause des dégâts dans les médias) et justifie à son tour la pseudo-cohérence d’un accident nucléaire dont la vraie cause est l’incapacité à prendre des contre-mesures face à la panique déclenchée par le virus informatique stuxnet. Tous les systèmes deviennent fou et personne ne comprend ce qui se passe.

    5°- A ce moment là, le premier ministre israélien appelle les japonais, revendique l’attaque et lance de nouvelles menaces nucléaires s’ils ne jouent pas le jeu en déclarant un séisme de degré 9 et en cachant la vérité de façon absolue. « Nous allons faire en sorte que votre peuple exige l’arrêt du nucléaire et que jamais vous ne nous menaciez à nouveau. Vous allez faire ce qu’on vous demande, quoi que ce soit ».

    6°- Ensuite la série noire continue : vannes bloquées, pression en hausse, commutations des générateurs impossibles, etc., alors que sur les écrans, tout est normal. C’est le chaos, ce qui confirme pour les autorités, si un doute demeurait, l’authenticité des revendications. La tragédie se termine quelques jours plus tard avec la fausse explosion d’hydrogène du réacteur 3 qui pulvérise les déchets stockés sur la zone, ainsi que le réacteur 4 voisin qui était à l’arrêt.

    (Depuis, l’instrumentalisation de ce scénario infernal se poursuit dans les médias. Ndt)

    Source : Lire l’article complet de micheldogna sur Wikistrike

     

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