Egalité et Réconciliation
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Les filles d’aujourd’hui : Ayem (Nour), Marlène (Schiappa), Anne (Hidalgo), Brigitte (Gothière)...

À l’occasion de la Saint-Valentin, anniversaire d’un massacre à la sulfateuse, la Rédaction vous offre ce panorama des filles d’aujourd’hui. C’est plein d’amour, si si.

 

 

Pendant que les Gilets jaunes défilent pour leur survie, Hidalgo achète des conneries

Un cœur en forme d’étron piqué par une baguette chinetoque géante, c’est la dernière hildinguerie en date. On pensait que l’Anne de Paris ferait un peu gaffe à la dépense avant de lancer sa campagne de réélection pour 2020 mais non, elle persiste dans le farfelu en « offrant » aux Parisiens qui n’en ont rien à battre une sucette lumineuse, rotative et chère : 650 000 balles. De quoi sustenter pas mal de Gilets jaunes. Et ça se dit socialiste.

Mais n’accablons pas la reine des rats, il y a pire dans le genre déconnecté. Attention : cette rubrique s’adresse aux machos assumés, aux hommes blancs ou pas de plus de 18 ans et aux sexistes de tout poil. Eh oui, pour nous le sexisme c’est simplement faire la différence entre un homme et une femme, pas hiérarchiser les individus. On connaît des femmes qui valent 10 mecs, et inversement. La valeur n’a pas de sexe. Allez, au suivante !, aurait dit le Grand Jacques.

 

De la grande à la petite Marlène

On pourrait s’épancher sur la Schiappa pendant des heures tant elle incarne la déraison mondialiste, mais pas question de tomber dans le piège sociétal tendu par Manu-le-Malin : la Schia est là pour créer des petits scandales qui font contre-feu quand l’actu sociale devient trop chaude.

Avec elle se profile la condamnation des hommes qui matent le cul des femmes, alors que c’est la chose la plus naturelle et la plus importante du monde. Évitons les plans sexistes faciles, trop faciles. Exit la Marlène, qui pourrait d’ailleurs, au lieu de nous raconter des conneries à l’Assemblée, nous rejouer une chanson en hommage à la grande Marlène de 1938, avant que tout ne parte en couille en Europe.

 

 

Tout ça c’est fini, les heures sombres, la Grande Europe d’avant l’UE, les rues propres, la jeunesse saine... Les nazis ont perdu et il ne reste que l’idéologie des vainqueurs, la bien-pensance universelle, le marketing gerbant, la culture au rabais, Mickey et son gros derche de touriste, l’agent Orange ou la déforestation mentale pour tous... Les filles d’aujourd’hui, c’était déjà un peu celles que Sardou chantait, le bougre avait senti la féminisation :

 

 

Dur d’emballer en costard en 68 ! Michel s’imposait un sacré handicap : se saper en salaud de droite avec coupe garçon sage après les événements de Nanterre, c’était courir tout droit au suicide sexuel. 50 ans plus tard, plus la peine de draguer, les applis de rencontres chaudes ont tué le game, même les timides ont leur chance.

Le moment le plus important de l’Histoire c’est pas l’invention de la roue ou du feu, c’est quand le flingue a remplacé la massue : le gringalet pouvait dégommer un balaise. Voilà la vraie justice, quand la loi du plus fort ne s’applique plus. Du coup c’est la loi du plus malin ou du plus menteur qui a prévalu, mais c’est un autre débat, qui nous entraînerait trop loin, par exemple en taule, alors revenons aux femmes d’aujourd’hui.

 

 

Ayem : payée pour s’habiller et se déshabiller

Ayem Nour en est une belle. Elle passe ses journées à faire la bimbo et elle est payée pour ça. Des centaines de milliers de jeunes filles la suivent sur Insta. On appelle ça une prescriptrice, et les marques se précipitent pour l’habiller. Elle, elle se déshabille.

 

 

Pour rester sur le haut de la vague, s’habiller ne suffit pas, il faut exister sur les réseaux sociaux et taper le scandale.

 

 

Purée, ça fait plus de vues qu’un article sur la géopolitique. On est vraiment des gros ringards nous les mecs qui nous intéressons à la politique. Il y a évidemment du plus sérieux chez les femmes d’aujourd’hui, ce que nous crie une fille du fond de la classe. Effectivement, il y a les féministes, dont voici un exemple US :

 

 

C’est pas une blague, c’est tiré d’un documentaire sérieux sur les années de libération de la femme. Entre elle et Ayem, il y a un monde, plusieurs échelons de conscience mais c’est pareil chez les mecs. Entre le boxeur Dettinger et le journaliste Aphatie, il y a au moins trois ou quatre mondes. À notre gauche le vrai courage, le sens de l’honneur, les valeurs tradi ; à notre droite la veulerie, la délation, la vanité.

 

Touche pas à mon steak, Brigitte !

On va finir sur du solide avec la cofondatrice des L214, les défenseurs ultra des animaux, dénonciateurs de la souffrance animale et rois du happening antiviandard. Sur ce sujet, on ne va pas se laisser entraîner dans un débat sans fin. Les amateurs de viande ont leurs arguments, les végétariens les leurs. Pour Brigitte Gothière, antispéciste à la Aymeric Caron (ça veut dire qu’elle ne fait pas de hiérarchie entre les espèces, par exemple l’Homme et l’Animal), il n’y a pas de bonne ou de mauvaise viande : la viande est néfaste et pour l’animal tué, et pour l’homme qui le mange. À l’occasion du scandale de la viande avariée polonaise – quelques quintaux déversés chez nous – la militante s’est confiée au Figaro.
Morceaux – saignants – choisis :

 

« Quel enseignement en tirer sur le circuit de la viande ?
Ce circuit est totalement opaque. Malgré les assurances des professionnels sur la traçabilité et la qualité, le consommateur n’a aucune idée précise d’où vient la viande qu’il a achetée, y compris chez certains bouchers détaillants. La plupart de ces derniers s’approvisionnent dans les mêmes structures que la grande distribution. La politique marketing des industriels de la viande vise à couper le lien dans l’esprit des consommateurs entre les animaux tués et la viande mangée. Notre but au contraire est de le rétablir afin de faire réfléchir les gens sur leur propre consommation. »

Pas faux, mais ne mettons pas tous les bouchers dans le même sac. Le bon boucher est celui qui maîtrise la filière de sa viande. Il va chercher chaque semaine sa vache chez l’éleveur, et il sait ce qu’elle bouffe. Fourrage, céréales, il la voit grandir et grossir et elle est abattue à maturité. La chaîne de qualité n’est pas rompue par de gros shoots d’antibiotiques ou un grossissement rapide en Italie. Il faut savoir ce qu’on veut : si on mange du pas cher, on prend des risques, c’est vrai, et la Brigitte a raison. Mais pour ceux qui aujourd’hui communiquent sur la qualité, elle a tort.

La France a fait, au contraire de l’Allemagne – et ne parlons pas du Benelux, la plaque tournante de toutes les arnaques – un gros effort sur la traçabilité. Il reste du chemin mais le mieux, pour le consommateur, c’est de taper la causette avec son boucher. Si l’artisan fait la gueule quand vous prononcez « limousine », « cularde », « blonde d’Aquitaine », « Salers », c’est qu’il vous vend du « bœuf français » qui a toutes les chances de venir de l’Est. Si au contraire il pose son couteau et vous raconte d’où viennent ses morceaux ou ses carcasses, alors ça sent bon.

 

 

Mais le combat de Brigitte ne porte pas que sur l’étiquette de la bidoche : pour elle, les animaux ont une conscience et la prise de conscience humaine de cette conscience peut faire basculer la consommation. Vers, par exemple, les protéines végétales. Notre collègue à la Rédaction sera-t-il prêt à renoncer à sa côte de bœuf maturée pour un plat de lentilles corail ? Pas sûr, pas sûr non plus que la dégustation d’une romanée-conti matche grave avec des grelots fadasses dans l’assiette...

« Mais peut-on se passer de manger de la viande ?
Nous sommes un certain nombre à faire la preuve aujourd’hui que cela est possible. J’ai mangé de la viande jusqu’à l’âge de 20 ans. Je suis née dans une famille où l’on en mangeait à midi à la cantine et le soir à la maison. Cela fait désormais vingt-cinq ans que je n’ai plus jamais consommé de viande et je n’en suis pas morte. Plus sérieusement, des études médicales et scientifiques – comme celle de l’association américaine et canadienne de diététique qui regroupe 100 000 professionnels de santé – ont montré qu’il était possible de se passer de protéines animales dans son alimentation. »

À la fin de l’interview, Brigitte nous a foutu les jetons en expliquant que son assoce était cofinancée par l’Open Philanthropy Project à hauteur d’un million d’euros en 2018. On a été visiter ce truc et en français ça devient l’altruisme efficace. Après vérifications, l’OPP, qui sent pourtant fortement l’officine américaine globaliste, ne fait pas partie de la galaxie de l’Open Society. Mais on peut se tromper : dès que y a du open dedans, on voit la tronche à Soros et on a un réflexe de défense.

On parlait des femmes d’aujourd’hui et on finit sur le bien-être animal. Seules les féministes complotistes y verront de la malignité. Une petite remarque à leur propos : elles voient le mal partout, ce sont elles qui imaginent un complot masculin contre les femmes et de la « haine » contre leur communauté, communauté qui ne vit que dans l’opposition et qui peut basculer dans l’agressivité. Cela nous rappelle quelque chose...

Les victoires du féminisme, sur E&R :

 






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36 Commentaires

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  • #2144954
    Le 15 février 2019 à 10:47 par Syndrome Gilles de la Tourette
    Les filles d’aujourd’hui : Ayem (Nour), Marlène (Schiappa), Anne (Hidalgo), (...)

    Ayem (Nour), Marlène (Schiappa), Anne (Hidalgo), Brigitte (Gothière)...
    Ah oui que des filles élégantes et raffinées
    Osez l’amour des rondes, Sexe, mensonges et banlieues chaudes, Les filles bien n’avalent pas (mais elles sucent) Ayem Nour photos persos nues et des extraits de sa sextape, Ane Hidalgo et ses délires de toilettes bio-bobo-écolos , Brigitte Gothière et ses fantasmes animalistes et sa dégaine de routier
    Un clin d’œil à nos grand-meres et nos mamans de nos vacances en campagnes pendant notre tendre jeunesse certainement

     

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  • Ce genre de femme est le produits du monde moderne et en particulier du monde virtuel et des écrans
    demain vous faites disparaître l’électricité ce genre de femme n’existe plus tout simplement

    il ne restera que le réel et le fonctionnel

     

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  • Sur la chanson de Sardou "Les filles d’aujourd’hui" sortie en 1966 et la féminisation, quel fut l’impact de l’arrivée, fin 60 début 70, des jeunes mâles maghrébins, et noirs africains dans une moindre mesure ?

    Le témoignage de mes parents, alors jeune couple mixte (française/algérien), m’a conduit à penser que c’était la femme qui "portait le pantalon". Le jeune émigré n’étant que peu émancipé et autonome socialement, du fait d’une faible maitrise de la langue et des codes sociaux, d’une relative précarité économique, considérant le contexte de l’époque (plein emploi mais ségrégation). Le besoin de se conformer aux nouvelles moeurs et l’éloignement du milieu social d’origine, facilitant une coupure avec les valeurs traditionnelles de la masculinité.

     

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  • Il n’est que d’observer la nature et le monde animal pour voir toutes les merveilles liées au dimorphisme sexuel, à la dualité mâle/femelle. Même si l’hermaphrodisme en produit de belles également.
    On parle d’attributs sexuels, et c’est là le petit caillou dans la chaussure de certaines qui refusent la moindre attribution dès lors qu’elle n’est pas consentie. Tout contrôler, tout diriger, être (faussement) rassurée. Vos rondeurs nous aimantent, votre grâce nous achève. Femelles de tous les pays unissez-vous !
    Et n’oubliez jamais qu’en bout de chaine les asticots et les bactéries nécrophages sont carnivores..
    Chienne de vie !

     

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  • #2145317
    Le 16 février 2019 à 00:06 par Jay Duplond-danlèle
    Les filles d’aujourd’hui : Ayem (Nour), Marlène (Schiappa), Anne (Hidalgo), (...)

    La beurette siliconée comment je te l’aurais envoyé valdinguer moi !

     

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  • je suis une femme de 50 ans qui ne regarde pas la TV, et je ne connais pas cette femme "ayem nour", j’en suis restée gênée pour elle ! on dirait une prostitué, elle pense garder une dignité en faisant cela ? elle croit quoi ? un objet sexuel, la honte, ça donne envie de vomir, dire qu’elle a un enfant, que va t-il penser de sa mère ? que c’est pas un métier, mais une prostitué, simplement, elle parait fière en plus ! la honte, moi j’étais fleuriste, et là je vois de la décadence, se donner en spectacle comme le porno,

     

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  • Moi je félicite Ayem d’avoir été assez forte pour faire sa place dans ce milieu en tant que véritable femme avec un utérus des ovaires et tout le reste et pas en tant que transgenre jouant la femme. Elle a fait preuve de beaucoup de courage car dans ce milieu sataniste ou l’inversion des genres et des valeurs prime difficile pour une véritable femme ( biologique ) de faire sa place.

     

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    • Non, une pute (sinon chômeuse ?) peut très bien se tailler une bonne place dans le système médiatique actuel. Elle a pas besoin d’être transgenre juste de montrer que la libération sexuelle c’est, à court ou moyen terme au mieux, la dégénérescence des moeurs (et pourtant Dieu sais que je suis pas puritain, je ne pourrais l’être même si je le voulais je crois) ou l’émancipation sexuelle comme dirait Marlène.

      Donc non, si elle est de tout les combats mondialistes et qu’en plus elle s***, elle sera tête de gondole. On pourrait aussi applaudir Nabilla, Les rappeuses\chanteuses US de RnB (aka la musique des cassos ou des enfers à vous de voir), certaines ex-actrices porno qu’on peut apercevoir dans des films et l’inverse (les gros studios du cinéma comme du porn sont assez proches géographiquement, il y avait un article sur E&R à ce sujet d’ailleurs à propos des passerelles entre les deux "genres" cinématographiques).

      Bref vraiment pas d’accord, d’autant qu’une belle et "véritable" femme biologique peut toujours réussir en regardant sous le bureau, c’est vieux comme le monde et simple comme bonjour. Donc non, pour un "véritable femme biologique" qui accepte de devenir un paillasson il n’est pas du tout difficile de réussir (même si elle doit garder à l’esprit qu’elle perdra ses charmes en approchant la quarantaine et donc de ne plus être une "véritable femme biologique", de devenir inintéressante pour tout ce qui sera passage sous le bureau).

      Bientôt les des actrices porno pour représenter nos adhérentes ? Bah quoi, elles ont "fait preuve de beaucoup de courage dans ce milieu sataniste ou l’inversion des genres et des valeurs prime difficile pour une véritable femme" (et quand t’imagine ce que certaines ont du prendre, on peut difficilement nier le courage voire même le don de soi, les actrices porno seraient-elles les premiers apôtres ? Bref, vous voyez bien qu’on peut dire tout et n’importe quoi avec ce genre de réflexion, et jdis ça sans moqueries ou méchancetés mais c’est bizarre comme façon de penser je trouve)

       
    • #2145612

      Hé bien Nina ton avenir est déjà tout tracé visiblement !
      Quelle époque décadente franchement..les prostituées deviennent des exemples pour toutes les générations d’aujourd’hui, et on en vient même à les féliciter !

       
    • #2148660

      Bonjour, je pense qu’elle est cooptée par le système sinon elle ne serait pas là.
      Le système l’a mise en place me semble t il pour que les maghrébines la prennent comme modèle et pour bcp d’entres elles, ça fonctionne. Les maghrébines pouvaient de par leur culture hériter des valeurs de leurs parents (travail, humilité, sens de la famille, honneur ...)et devenir une femme méditerranéenne au sens soralien du terme. Ayem de par sa notoriété montre une autre voie, un autre model à suivre par mimétisme ( mêmes origines=plus facile de s’identifier ). Le rap dans les quartiers amené par la gauche sert le même intérêt. Les fils d’ouvriers maghrébins pour certains sont devenus des ultra libéraux à mille lieux des valeurs de leurs parents.
      P.S. je suis moi même maghrébin et gilet jaune cela dit en passant.

       
  • Je ne verrai aucun complotisme,être comparée à un animal ne me vexerait aucunement, pour bien les connaître, ( les animaux ), je les trouve beaux, nobles et courageux la plupart du temps, oui ils une conscience que certains humains n’ont même pas (voir l’actualité ), et j’ai une grande admiration pour une autre Brigitte, Bardot, qui fut très belle, a assumé de ne plus l’être, anti féministe, elle a préféré consacrer sa vie aux animaux plutôt qu’à elle-même, d’autre part, la StValentin est détestée par tout le monde, normal, le romantisme n’a plus court, seul le pognon intéresse, les filles d’aujourdh’ui sont elles pires que celles de 68, ou de 1920 ? Vaste question. Et enfin, pour être honnête, n’y a t’il pas aussi des hommes futiles, suivez donc les réseaux sociaux des jeunes hommes et vous n’y verrez pas de grands débats philosophiques, les femmes se déshabillent depuis que le monde est monde et c’est pour les hommes, enfin et surtout cet article fait des femmes une communauté ? Et bien je ne me suis jamais jamais sentie comme faisant partie d’une communauté de femmes, quelle horreur, les femmes ne sont pas une communauté, pour revenir à mon point de départ, la femme est simplement la femelle de l’homme,non ?

     

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  • Ce qu’il y a de fascinant avec les escrocs c’est que même si on les prend la main dans le sac en flagrant délit , ils continueront à nier , à dire que ce sont des gens biens etc ...
    La Rabzouza qui vend des compléments alimentaires en faisant croire que ça fait maigrir le dit en plus ! C’est juste énorme !
    Ça l’a accompagné dans sa perte de poids ... AHAHAHAHAH
    Ça l’a accompagné surtout à la clinique célèbre tenue par un éminent chirurgien de la communauté de Lumière des Champs Elysées pour faire sa liposussion oui ...
    Cette nana est passée de michetonneuse de banlieue à michetonneuse de luxe qui s’est attrapé un dirigeant de Petrobrass en Afrique.
    Et après un divorce juteux , depuis elle fait la michetonneuse publicitaire.
    Elle a un bon plan de carrière puisque elle n’est plus obligée d’ouvrir la bouche que pour parler désormais ...
    Ça lui évite d’avaler c’est déjà pas mal comme évolution je trouve et puis apparemment c’est mieux payé.

     

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  • Environ cent mille euros par publicité sur les réseaux sociaux pour des "influenceuses" ! C’est un scandale, quand on voit ce que rapporte de travailler dur en France ! Quelle inégalité sociale ! C’est plus de six fois le SMIC annuel en une seule publicité minable et mensongère ! Mais que cela soit bien dit, ce qu’elle fait est amorale : c’est de l’impudeur en général et surtout du mensonge. Elle prétend qu’elle aime authentiquement des produits alors que ce n’est pas forcément le cas : c’est du mensonge. Les photos sont souvent retouchés : là encore, c’est un peu aussi de l’illusion, de la tromperie, du mensonge en somme (le maquillage aussi dans une certaine optique, mais l’illusion est souvent moins grande). Dieu désapprouve ce genre de comportement injuste.

     

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