Le Ma-main-dans-ta-gueuleGate a fait le tour du monde, et le couple royal n’en est pas sorti grandi. Déjà que tout le monde se posait des questions, notamment sur l’âge du capitaine...
Désormais, rétroactivement, même les plus macronistes se posent des questions sur Brigitte : a-t-elle l’habitude de violenter Manu ? Serait-elle méchante ? Qu’en pense le personnel du Château, du moins celui qui n’a pas remis sa démission ou qui n’a pas été viré manu militari par la PD, la première dame ? Un numéro vert existe, mais en état de soumission, il n’est pas certain que la victime le compose...
@saidiabir_officiel Le président s'en prend une à cause de son Insta. #fyp #foryoupag #pourtoi #humours ♬ son original -
Emmanuel a malheureusement l’habitude d’être giflé, et Brigitte n’a pas montré le bon exemple. Beaucoup de Français ne comprennent pas ce président, peut-être trop perché ou déconnecté pour eux. Le retour au réel, l’atterrissage (le réelissage ?) ne peut pas dans ces conditions bien se passer.
Macron est officiellement le Président le plus giflé de tous les temps ! pic.twitter.com/JHBSZFPJBy
— France for Trump (@VirginiePerez15) May 28, 2025
Cependant, cet homme à l’intelligence supérieure sait pardonner. Ici, il prouve toute sa dimension d’homme supérieur et évoque sans ambages la violence à son encontre.
Emmanuel Macron : "C’est pas grave de recevoir une gifle (...). La vraie violence, c'est celle que subissent les femmes qui meurent sous les coups de leurs compagnons" (itw à BFMTV).pic.twitter.com/Okd7EIUsRG
— Infos Françaises (@InfosFrancaises) June 10, 2021
La gifle c’est quoi, au fond ? Ce n’est pas forcément une agression, cela peut être un coup d’arrêt à quelqu’un qui délire, qui ne sait pas se tenir, comme disent les truands. Un infirmier psychiatrique, qu’on avait voulu impressionner en lui parlant de camisoles chimiques qui avaient dans les HP remplacé la « violence » physique des infirmiers, nous a repris en disant que la vieille méthode, pour calmer un malade en crise, était toujours d’actualité. Il nous a raconté comment parfois, des personnalités atteintes de pathologies mentales (alcoolisme, dépression, tendances suicidaires) pouvaient se faire maraver hors caméra. C’était le cas d’un comédien connu qui aimait rouler très vite dans le sud sans faire attention au code de la route.
Dans ce cas, la contrainte physique, incarnée par la gifle, fait office de stabilisateur. C’est le calmant à l’ancienne, donc pas destiné à faire mal, bien au contraire : on empêche quelqu’un de se faire du mal. Et quand on voit la mine déconfite du Président à la descente de l’avion, au cours de ces trois secondes pendant lesquelles il essaye de retrouver une contenance, on comprend qu’il plane à moitié. Cela étant, une gifle n’a jamais fait redescendre quelqu’un qui plane, cela se saurait. On n’a jamais vu une personne gifler son partenaire en montée de coke ou en flash d’héro, cela peut même mal se passer.
- Que peut un freluquet, même armé de gants de défense, face à une furie ?
On évoque ces deux drogues car elles sont considérées comme dures, mais aujourd’hui, les membres de la nomenklatura française ont accès à une trousse pharmaceutique bien plus élaborée. Il y a quelques années, un président hyperactif se faisait piquer comme des cyclistes du Tour, afin d’assurer son job, c’est-à-dire déplacements, engueulade des ministres, droit de cuissage sur les brunettes typées à proximité, discours et compagnie.
Cependant, nous n’avons jamais été dans la situation où l’on comprend en un geste, certes bénin, qui dirige le pays. En tous les cas, ce n’est pas Manu. Mais alors, qui a mis Brigitte en place ? Qui est Brigitte ? D’où vient-elle ? Son accession au pouvoir est-elle le fruit d’une longue stratégie de forces occultes ou le résultat d’une histoire d’amour, somme toute classique, entre une cougar et un mignon ?
Dernière minute : Manu réagit avec humour au GifleGate
« Oui, ils ont voulu répondre par l’autodérision », assume un proche, alors que le président avait démenti la gifle parlant d’un moment de « décompression ». Surtout, Emmanuel Macron a dénoncé la surinterprétation des « fadas, des maboules et de tous ceux qui ont le caramel qui leur monte à la tête ». De son côté, son entourage n’en démord pas : la polémique est partie de Russie. (France Info)