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Notre-Dame – Un expert de la construction : "Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre"

Alors que le ministre de la Culture Franck Riester affirmait ce matin que la structure de la cathédrale Notre-Dame de Paris était « sauvée », « rien n’est fini », selon l’ancien architecte en chef des Monuments historiques Benjamin Mouton, en charge de l’édifice religieux jusqu’en 2013.

[...]

En tant qu’architecte en chef des Monuments historiques, Benjamin Mouton a été en charge de la cathédrale Notre-Dame de 2000 à 2013, pour laquelle il a piloté le lourd chantier de la détection incendie. Ce dernier n’a pas encore pu se rendre à l’intérieur de l’édifice, mais redoute déjà l’impact de l’incendie et de l’effondrement des charpentes sur la stabilité globale de l’édifice.

Reprenant les propos de son successeur Philippe Villeneuve, avec qui il est en contact, Benjamin Mouton affirme auprès de Batiactu que ce dernier était « totalement incrédule » face à cet incendie qui aurait pu partir du chantier de rénovation, et que les soupçons pourraient se porter sur la « noue », où se croisent la nef et le transept de la cathédrale.

[...]

« La protection incendie mise en place dans la cathédrale était à son plus haut niveau »

[...]

Un important dispositif de détection et protection des incendies

« En 40 ans d’expérience, je n’ai jamais connu un incendie de la sorte », affirme celui qui estime que la protection incendie mise en place dans la cathédrale était à son plus haut niveau.

« Lorsque je me suis occupé de la détection incendie, qui a été un dispositif très onéreux, il fallait très peu de minutes pour qu’un agent aille faire la levée de doute, nous avons fait remplacer de nombreuses portes en bois par des portes coupe-feu, nous avons limité tous les appareils électriques, qui étaient interdits dans les combles », affirme-t-il auprès de Batiactu.

Le mystère sur les causes de l’incendie reste donc entier. Un expert du secteur de la construction, confie également son incompréhension auprès de Batiactu :

« L’incendie n’a pas pu partir d’un court-circuit, d’un simple incident ponctuel. Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre. Le chêne est un bois particulièrement résistant. »

Lire l’article entier sur batiactu.com

 

Mardi 16 avril 2019, David Pujadas fait dans son émission sur LCI « le point sur l’incendie qui a ravagé Notre-Dame de Paris ». Il se demande et demande à ses invités « pourquoi cette catastrophe a autant touché la France et le Monde ? » mais un témoignage important vient recentrer le débat sur l’essentiel et semer le doute, et il ne sort pas de la bouche d’un complotiste : il s’agit de Benjamin Mouton, ancien architecte en chef de la cathédrale de 2000 à 2013.

 

 

L’émission entière 24 Heures Pujadas suivie de l’allocution du président de la République est ici.

Le crime impardonnable, sur E&R :

 






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225 Commentaires

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  • Une preuve pour démontrer que n’importe qui peut s’introduire dans la cathédrale et y faire ce que bon lui semble en bien ou en mal malgré les vigiles ou les alarmes. Ils sont forts pour affirmer que la thèse accidentelle est privilégiée alors qu’aucun expert ou pompier n’avaient pu mettre les pieds dans la cathédrale en feu...

    https://www.youtube.com/watch?v=VOW...

     

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  • Restons en à l’origine de l’incendie , avant toutes ces hypothèses sur le(s) mobile(s) d’un incendie criminel .
    Avez vous déjà essayé d’allumer un feu dans une cheminée ( pour obtenir les mêmes conditions d’arrivée d’air ) , des bûches de vieux chêne ?
    Eh bien c’est pas facile , le bois est tellement dur que même la tronçonneuse à du mal à le couper , on dirai du fer .
    Donc Benjamin Mouton à raison , il faut énormément de chaleur au départ ! et cela assez longtemps !
    Dans la cheminée il vous faudra commencer par mettre le feu aux papiers , qui mettrons le feu aux petits bois , puis à des bois de taille intermédiaire , AVANT que vos grosses bûches prennent .
    Tout les possesseurs de cheminé le savent !
    Ce n’est pas des soudures , des étincelles de meuleuse ou un court circuit improbable qui peut être à l’origine de ce feu ! d’ailleurs le courant est systématiquement coupé en fin de journée , donc j’adhère complétement jusqu"a preuve irréfutables , à l’origine volontaire !

     

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    • Je suis en phase avec vous pour avoir rénové une ancienne battisse, je me suis chauffé longtemps avec ces vieux bois de chênes. Par ailleurs, la fumée jaune me fait penser à du souffre et je me dis que j’arriverais assez rapidement à enflammer une telle charpente avec de la poudre noire qui en contient pas mal. La poudre noire est en vente libre dans les armureries aux + de 18 ans. Faudrait voir si la fumée qu’elle dégage est jaune.... Après escalader et s’introduire dans la charpente, semble assez réalisable surtout avec des échafaudages.

       
    • @ pascal " Après escalader et s’introduire dans la charpente, semble assez réalisable surtout avec des échafaudages."
      Apparemment il semble qu’il soit possible de monter par les échafaudages et avoir accès aux combles par les escaliers depuis la rue du Cloître-Notre-Dame, il suffit de faire une petite balade sur Street View pour s’en rendre compte, ce qui, soit dit en passant, est inexcusable de la part de l’entreprise qui a construit les échafaudages. Il est probable, mais Street View ne le permet pas qu’il y ait d’autres moyens d’accès a une personne mal intentionné.

       
    • Vous avez raison, mais une fois que c’est parti c’est bien parti, il ne faut pas oublier que la charpente en feu est monté à 800° et là dans une telle fournaise tout part rien ne peut l’arrêter.

       
    • L’origine volontaire n’explique pas l’embrasement de la charpente.

      Je ne sais plus s’il s’agit du même expert, il a été dit que la charpente avait été récemment traitée contre les parasites et que les produits utilisés seraient hautement inflammables et pourraient être à l’origine de cet embrasement.

      A partir de là, il faut pouvoir déterminer si un simple départ de feu accidentel aurait suffit à enflammer toute la charpente et si non, combien de départ de feu, par allumage à retardement, aurait-il fallu pour y arriver ?

      Saurons-nous un jour ce qui s’est réellement passé avec les menteurs qui nous gouvernent ?

      J’en doute mais ouvrons l’oeil, le nôtre ;-) et observons les.

       
  • #2180786

    Est-ce que l’équipe d’E&R pourrait traduire cette vidéo de Steve Pieczenik qui est un ancient des services de renseignement US ?
    Il s’exprime au sujet de l’incendie de Notre Dame, ceux qui ont étudié de près le false flag du 11 septembre le connaissent certainement.

     

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    • #2180850

      Je l’ai écouté sur Youtube suite à votre commentaire.
      Il corrobore que c’est un false flag, une manipulation organisée par "la Piscine", entendez les services français. Il dit qu’ils sont coutumiés du fait puisqu’ils collaborent à de nombreux false flags partout avec la CIA. Il laisse entendre que c’est un soutien parallèle à Macron incapable d’organiser le pays.
      Ce qu’il dit est partiellement vrai, les services français collaborent souvent avec la CIA dans des projets false flags, mais pas forcément tout le service, il y a aussi un service dans le service, au service de l’état profond américain et qui fait appel à des mercenaires de l’OTAN. Si vous voulez en savoir d’avantage, lisez mon commentaire sur ce site situé plus haut.

       
  • #2180806

    Voici le lien de la vidéo en question :

    https://www.youtube.com/watch?v=LpA...

    Une traduction serait la bienvenue, merci d’avance à l’équipe d’E&R.

     

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  • #2180829

    Pas de soudure ni de point chaud sur le chantier de Notre-Dame :
    https://fr.sputniknews.com/france/2...

     

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    • Ce que vous annoncez comme s’il s’agissait d’un fait pratiquement avéré, ce n’est en réalité rien de plus que la protestation de son innocence (non vérifiable) par une entreprise qui se trouve (par hasard, hein) en tête de la liste des suspects, dans l’hypothèse d’un incendie par négligence.

       
  • #2180866

    Au moins, on est déjà au courant de l’endroit où vont se retrouver les gillets-jaunes samedi !!!

     

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  • #2180893

    Encore un article de Panamza "glaçant"
    http://www.panamza.com/170419-notre...

     

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  • Bonsoir, j’ai aperçu deux heures avant l’incendie, un très gros drône tout noir, de type avion-hélicoptère un peu comme celui-là : https://www.aeronewstv.com/fr/indus...
    à la différence que les rotors étaient beaucoup plus massifs, et bizards . On aurait dit des sorts de bras tordus . Lorsque j’ai vu cet engin de mort, que j’ai observé avec une paire de jumelles 8x42 grand angle de bonne qualité pendant une minute, j’ai compris avant d’apprendre que la cathédrale avait brûlée, donc, vers 17h00 environ, que ce truc là n’apporterait que du mal à notre pays . Ensuite, lorsque j’ai réalisé ce qui venait de ce passer, j’ai fait le rapprochement avec cet engin, qui, selon moi, aurait peut-être tiré un missile incendiare, car, doté d’une grande vitesse ascentionelle, et plus ou moins furtif, il aurait pu prendre de l’altitude au-dessus de la forêt de Fontainebelau par exemple, pour trouver l’angle et tirer sur l’église . Puis, redescendre rapidement . Je suis convaincu que c’est cet engin qui a fait brûler l’église Notre-Dame lundi soir .

     

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  • #2181517

    Le principe d’Ockham avance que lorsque plusieurs hypothèses se présentent c’est le plus souvent la plus simple qui est la meilleure... on sait que lorsqu’un incendie ravage une forêt (mettons de 1300 arbres) en Provence, en Californie ou en Corse, l’été,...dans 95% des cas c’est l’oeuvre d’un incendiaire (pyromane ou pas)... l’hypothèse la plus simple pour un incendie aussi violent que celui de Notre Dame est très certainement celle de l’incendie volontaire... ça n’est pas du complotisme, c’est seulement de la logique !

     

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    • Effectivement, cette remarque n’est pas du complotisme. Pour autant, ce n’est certainement pas "seulement de la logique". C’est seulement une confusion un peu inquiétante entre les mots et les choses réelles. Une charpente, quand bien même elle aurait été surnommée "la forêt", et quand bien même sa construction aurait nécessité l’abattage de 1300 arbres, soit l’équivalent d’une forêt, ce n’est pas une forêt.
      Donc transposer ainsi à cette charpente un principe observé sur les forêts, ce n’est pas très sérieux.

       
    • Commençons plutôt par le commencement @JP pour dire que ce qui n’est pas sérieux c’est d’ouvrir une enquête sous le chef d’incendie involontaire, c’est-à-dire alors que rien n’a par définition encore été établi. En termes de n’importe quoi, ça me parait difficilement dépassable. Et puis de toute façon il n’en demeure pas moins que la violence de cette incendie au regard et des mesures de sécurité et de la nature de ce qui a brûlé est au-delà du suspect.

       
    • Ce dont vous parlez est hors-sujet par rapport à ma remarque. D’où tenez-vous donc que j’aurai du "commencer par le commencement" ? On approche, tous articles confondus, le millier de coms sur Notre-Dame, dont 95% "ne commencent pas par le commencement" selon votre principe.
      Mais c’est juste moi que vous prétendez réprimander. Ah Eric, dites donc, ma conversation vous manquait et vous êtes pressé de la renouer. Vous m’en voyez touché.

      Sur le fond de votre remarque, je dirais qu’il m’aurait étonné que le gouvernement réagisse autrement.
      Bien après AZF, j’ai assez étudié la question. Mon opinion finale est que ce n’était effectivement pas un acte terroriste, mais une très grosse bavure technologique dont l’analyse ne pouvait être rapide. Néanmoins le gouvernement Villepin avait, comme le gvt Macron aujourd’hui, instantanément décrété que ce n’était pas un acte terroriste, alors qu’il allait lui falloir au moins plusieurs jours ou plusieurs semaines avant de savoir réellement ce qu’il en était.
      La question est donc : pourquoi Macron ou Villepin réagissent ainsi ?
      Ma réponse est que s’il s’agit d’un acte terroriste, en tout cas il n’est pas revendiqué publiquement.
      - S’il n’est pas du tout revendiqué, est-il possible au gouvernement de dire froidement : "Ça ressemble à un acte terroriste, mais il est pas revendiqué, et on ne sait pas qui a fait le coup" ou bien "On se doute de qui a fait le coup, mais on est pas sur d’en avoir jamais la preuve". Non, ces aveux d’impuissance ne sont pas disables.
      - S’il y a des preuves ou des revendications non-publiques, quel intérêt d’en faire la publicité ? Tout acte terroriste vise à la manipulation ou au chantage. Mettre l’opinion publique au courant, c’est pour le gouvernement s’ôter certains degrés de liberté dans sa gestion de la tentative de manipulation qu’il subit.

      Exemple concret : AZF arrive juste après le onze septembre. Villepin sachant déjà qu’il n’y avait pas d’avion au pentagone, mais n’ayant pas encore la conclusion de l’enquête AZF, craignait à ce moment que cette affaire soit un false-flag similaire, pour le contraindre à participer aux guerres de l’Amérique. Donc il a par précaution interdit aux actes terroristes d’exister. D’ailleurs, inversement, en remontant en amont de ceux qui ont cherché à faire prospérer la thèse d’un attentat islamiste... Bref, Villepin a fait ce qu’il fallait.

       
    • Je le tiens de votre commentaire en vous suggérant que cette incendie ne présente aucun caractère d’accident, tout simplement. Je me permets donc de réagir précisément à votre commentaire, ne fais aucunement hors-sujet et ne vous « réprimande » pas (! !!). Par ailleurs, il y a en effet d’autres commentaires avec lesquels je peux être en désaccord tout comme vous, mais comme vous le dites il y en a tant qu’on ne peut réagir à tous, ceci expliquant cela. Je vous ai bien compris, il est donc inutile de vous répéter en disant que dans l’hypothèse où ce serait un acte terroriste, il serait forcément revendiqué. Ce n’est pas un argument probant car cela n’a rien d’obligatoire ni d’évident. Enfin, vous vous appuyez sur des hypothèses qui n’existent pas concernant le gouvernement puisque ce dernier a réagi à l’inverse de ce que vous dites en excluant d’emblée cette piste. Il vaut donc mieux partir du réel il me semble, en plus de ne pas être soit dans le « tout terroriste » ou à l’inverse dans le déni. Pas de systématisme ni dans un sens ni dans l’autre donc. Et de toute manière, le pouvoir utilisera toujours ce type d’événement à des fins de récupération quelle que soit la manière dont il le fait.

       
    • "aucun caractère d’accident"

      Au tout début des coms de cet article, j’ai cité quelques affaires d’accident auxquels je me suis intéressé. Pouvez-vous dire que vous avez pareillement travaillé le sujet des grands accidents techniques au point que votre opinion pourrait peser quelque chose ? Je crois que vous exprimez rien de plus qu’un sentiment, et je m’en tiens donc à mon jugement personnel : pour le moment l’hypothèse de l’accident n’a pas été réfutée.
      Et vous étiez réellement hors-sujet, quoique vous en prétendiez, par rapport à ma critique de l’étrange logique utilisée par Gloria Lasso.

      Qu’est-ce qui vous fait prétendre que j’aurais affirmé qu’un attentat aurait forcément été revendiqué. Vous m’avez mal lu, je n’ai rien dit, ni même pensé, en ce sens.

      Vous constatez comme moi que pour le moment ce n’est pas un attentat revendiqué publiquement, et comme cela fait maintenant 6 jours, parions que ce ne sera définitivement pas un attentat revendiqué.
      En-ai je déduit qu’il s’agissait d’un accident ? Il semble que dans vos rêves, j’aurais fait cette grossière erreur de raisonnement. Dans la réalité, j’essaie d’éviter les conclusions hâtives, d’une manière générale. Alors non, je n’ai jamais exclu l’hypothèse d’un acte volontaire mais pas revendiqué publiquement, voire pas du tout revendiqué.

      N’oubliez pas que ma démonstration tentait d’expliquer l’irrationalité apparente de la posture pro-accident de Macron (ou Villepin). L’hypothèse que je propose est qu’ils gèrent ainsi le fait qu’ils n’ont pas la certitude que c’est un simple accident. Et je dis que leur posture pro-accident n’est donc pas du tout une preuve que c’est un attentat.

      Je ne tentais absolument pas de trancher la question de la cause de l’incendie. Je n’en ai pas la réponse. D’un coté il y a un contexte politique qui impose une grande méfiance, d’un autre coté les conditions d’un accident sont plausibles, lorsqu’elles ne sont pas avérées.

       
    • Mais de quoi vous parlez bon sang ?! Évitez de partir dans tous les sens. Il n’y a strictement aucune nécessité de faire un quelconque historique de je ne sais quoi pour juger qu’il est parfaitement absurde de penser que cet incendie puisse être de nature accidentelle. Si mon point de vue sur ce sujet est un sentiment (ce qui n’est selon moi pas le cas), alors il vous faudrait admettre que le vôtre l’est également et il est tout à fait permis de penser que ce sont les doutes que vous exprimez ici qui sont plus que faiblards car irréalistes sous couvert fumeux de je ne sais quoi. Je vous ai déjà dit que la revendication, tout comme la non-revendication, ne constituent dans un cas comme dans l’autre la preuve de rien du tout. Vous vous arc-boutez sur des choses qui ne sont pas déterminantes. Enfin, je ne juge pas pour ma part la manière dont est géré cet événement par le pouvoir pour trancher la question de sa nature, car cela peut se juger indépendamment dans la mesure où quelle que soit l’explication de cet incendie, il y a toujours et dans tous les cas de la récupération. Sachant qu’il y en a même quand il y a des cadavres, donc vous pensez bien ! Donc il n’y a selon moi aucune raison de juger de tout ceci en fonction de la « posture prise » par tous ces gens à mon avis assez largement dépassés par les événements, mais là c’est un autre sujet puisque la débandade est généralisée. Tout ceci est d’ailleurs au-delà du navrant, tout le monde peut en convenir. Passons.

       
    • il n’y a selon moi aucune raison de juger de tout ceci en fonction de la « posture prise » par tous ces gens

      Moui... Mézalors pourquoi, alors que je parlais de toute autre chose, avez-vous débarqué en affirmant qu’il fallait "commencer par le commencement" et donc parler de cette posture ?
      C’était quoi votre but, alors ? Ah oui ! le plaisir de ma conversation. Ou peut-être, ce rêve toujours inachevé de m’enseigner quelque chose

      Pour le reste, si vous ne voyez pas la nécessité d’avoir quelques repères, quelques références (donc, par exemple, des références historiques) pour pouvoir prétendre juger d’une réalité, j’y peux rien. Vous voulez croire à la toute puissance de la pure capacité de raisonnement, c’est votre droit, et vous y trouvez votre compte puisque ça vous économise l’effort de vous instruire, et vous continuerez ainsi jusqu’au jour, peut-être, où les résultats concrets ne vous satisferont plus.

      Pour le moment, vous ne semblez pas vouloir considérer la possibilité que vous vous trompiez et/ou que vous ne compreniez pas tout. La preuve en est que ma réponse vous paru "partir dans tous les sens", alors que sa logique était très simple : elle ne faisait que préciser les nombreux points que vous n’aviez apparemment pas compris ou mal compris.

      Pour ma part, je ne vais pas poursuivre l’échange. Votre production d’un pâté sans un seul retour à la ligne qui le rendrait plus digeste, est un indice, dont la fiabilité fut malheureusement prouvée à moultes reprises par l’expérience, que votre conversation sera pénible.

      Juste une question, par curiosité, que je me pose depuis longtemps, et que vous avez ravivée. Est-ce que vous, ou des personnes pouvant avoir eu de l’influence, auraient tâté de la philosophie ?

       
    • Et ça continue ! Bon, c’est pathétique. Pour faire court, j’envisage comme quiconque la possibilité de me tromper, simplement il me semble que dans le cas dont il est question ici cette possibilité est très réduite. J’ai pourtant essayé de m’exprimer clairement et de manière aisément compréhensible, sans succès donc. Sûrement la faute à l’absence de retour à la ligne qui rend la conversation pénible (mon dieu !). La vôtre ne l’est pas du tout par contre, par la seule grâce du retour à la ligne sans doute ! :-)
      Du coup, je ne répondrai même pas à votre interrogation finale, pour ce qu’elle a de compréhensible et d’à-propos. Non mais, et puis quoi encore ! :-)

       
    • Le pâté sans retour à la ligne n’est pas la cause de la pénibilité de la conversation. Il est l’indice certain qu’elle va continuer à être pénible.

      - La première cause de la pénibilité, c’est que vous comprenez de travers, beaucoup trop souvent. Un exemple, parmi d’autre, se trouve justement dans le paragraphe au-dessus.
      Il est difficile d’être indulgent car la cause de votre "incompréhension" ne réside aucunement dans un handicap intellectuel dont on pourrait avoir pitié. Non, la cause, c’est votre volonté, assez malhonnête, de trouver à tout prix dans mes propos matière à prétendre que je raconte n’importe quoi. C’est dans ce but que vous les mésinterprétez aussi souvent.
      Ces continuelles mésinterprétations volontaires m’obligent à de continuelles réexplications et précisions supplémentaires, que vous vous dépêchez alors de mésinterpréter, en prétendant qu’ils s’agit de digressions, sans envisager qu’elles étaient nécessaires parce que vous vous étiez trompé. Autrement dit, vous me reprochez en pratique ma bonne volonté pour gérer votre faute. Oui, ça c’est pénible, aussi.

      - La seconde cause de la pénibilité, c’est que vous étayez rarement vos affirmations par du concret. Alors, pour leur donner un poids qu’elles n’ont pas, vous vous exprimez d’une manière qui veut faire croire que vous êtes consterné, désabusé, lassé d’une situation dont vous seriez victime. Je ne vous explique pas comment ce statut de victime est bien pratique pour éviter l’obligation d’étayer ses dires, et éviter ainsi le risque que l’imposture soit démasquée.
      Prenons un exemple concret : j’ai montré comment votre comportement révèle que vous n’envisagez pas la possibilité que vous vous trompiez. Vous avez affirmé le contraire, mais où est-donc l’indice concret qui appuierait votre affirmation ?. Nulle part ! Qu’avez-vous donc fait ou dit antérieurement qui corroborerait concrètement que vous envisagez sérieusement la possibilité de votre erreur ? Rien !
      Qu’est-ce qui doit peser plus ? Vos actes, ou vos affirmations ? Votre comportement est calqué sur celui des gonzesses qui ont des prétentions d’autorité, mais pas d’autres armes que leur facilité à produire des phrases qui pourraient faire illusion. Des justifications factuelles, convaincantes, de leurs prétentions, elles ne savent pas en avoir. C’est pénible

      Ps : Vous pouvez répondre sans vous défiler à ma question d’avant. Au pire, vous y gagneriez d’avoir des circonstances atténuantes.

       
    • Au final, quelques dizaines de lignes et pas un traître mot sur le sujet, marrant ! Et comme il semble qu’il faille vous le répéter, je vous redis que ne répondrai pas à votre question surréaliste. Je devrai donc faire sans « circonstances atténuantes », pauvre de moi ! :-) Je vous laisse à votre enquête, ayant dit à peu près ce que j’avais à dire. Je crains que la suite de « l’enquête officielle » (et là je ne parle pas de la vôtre) ne puisse réconcilier quiconque car c’est parti sur de très mauvaises bases avec cette histoire d’incendie involontaire. Mais bon, ça doit être normal, faut juste s’habituer. Je note juste pour finir qu’il est assez drôle de votre part de parler de « gonzesse » alors que votre post dégouline de psychologisme à la guimauve, ce qui est un mal bien actuel en effet. Sans oublier la brosse à reluire à votre endroit (Ah cette « bonne volonté » et ces « continuelles explications » !).

       
  • #2183658

    A 10 secondes de ce reportage notez l’explosion d’une probable poutre en chêne,
    L’avenir des obus probablement,avec le label bio apposé dessus.
    https://www.youtube.com/watch?v=1qC...

     

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    • #2187964

      Eh oui, ça explose, et ça explose même extrêmement bien entre 0:09 et 0:11 sur ce reportage France 2 Envoyé Spécial . Des flammes claires, un feu à 800-900°C, peut-être 1000°C. Impossible avec du bois. Des fumées claires, donc dépourvues de cendres charbonneuses, ce qui plaide encore en faveur d’un feu de température très élevée, le carbone étant oxydé en gaz incolore (CO ou CO2).
      Donc l’évidence d’un second départ de feu, avec un moyen pyrotechnique très puissant. C’est une preuve d’un incendie intentionnel. Bizarrement, c’est le blackout complet sur tous les sites (même de réinformation) concernant cette explosion parfaitement visible sur un reportage de média mainstream. Tout le monde cherche soi-disant la vérité, mais tout le monde s’en fout. Et on continue de privilégier l’hypothèse accidentelle. Encore de beaux jours pour le mensonge et la canaille.

       
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