Grosso merdo le complot est une pure fiction ? ça n’existe pas et ceux qui le dénoncent sont forcément des paranoïaques en manque de sens ou déphasés du réel ? La "croyance complotiste" serait en fait un mécanisme psychologique de défense pour attardés sociaux afin d’expliquer leurs misère et malheurs ?

Ce qui m’énerve au plus haut point c’est que ces intellectuels à deux balles partent toujours du postulat que le complot est une aberration du réel, une chimère de cerveau malade, pire que le complot relève uniquement de croyances primaires douteuses et autres interprétations sans fondement aucun or les théories du complot dignes de ce nom ne relèvent pas de croyances sorties de nulle part mais d’une analyse rigoureuse du réel. Autrement dit les théories du complot conséquentes ont une valeur sociologique indéniable - souvent occultée ou tout simplement niée.

Le complot est par essence caché - sinon ce n’est plus un complot - et ne peut se dévoiler, comme la vérité, que par procédés dialectiques. Le complot est une construction fondée sur l’histoire, l’économie, la politque etc. et ne relèvent absolument pas de croyances ex nihilo.

Alors au lieu de nous endormir avec ses analyses il ferait mieux de nous dire qui sont les réels détenteurs du pouvoir, ce qui me semblerait sur le plan sociologique un peu plus intéressant.

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Tentative typique de psychiatrisation de l’adversaire.

Le meilleur moyen de dissimuler un complot, c’est de faire passer la victime pour le comploteur.

Le meilleur moyen de comprendre un complot, c’est de s’identifier au comploteur.

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On ne peut que supposer que cet extrait d’un propos d’Alain Soral est censé le discréditer.

Or, Sarkozy lui-même dans un discours que tout le monde a pu voir affirmait : "Nous irons ensemble vers ce nouvel ordre mondial, et rien, ni personne ne pourra s’y opposer".

Y en a marre de ces vieilles croutasses lénifiantes qui font de la Culture à la radio et n’impressionnent que les naïfs.

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Soral dérange beaucoup la racaille sioniste.

Ils ont tenté de le faire taire en l’ignorant et en le privant de tribune publique. Mais malgré tous leurs coups bas il réussit à rejoindre des centaines de milliers de personnes parce qu’il dit la vérité et que ses analyses expliquent clairement les couleuvres que les merdias et leurs collabos tentent de nous faire avaler.

Maintenant on tente de le discréditer par les moyens les plus vicieux. Ce sont eux maintenant qui ne rient plus. Ils ne trompent plus personne et ils le savent. Le peuple se réveille et ça, ça ennuie terriblement les maîtres du mensonge et de la duperie.

Si je faisais parti de la vermine au pouvoir je commencerais à me chercher un sous-sol...

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"" La destruction de l’Etat ;....les grands mots .....Etat faschiste ......le Complot ......""
les accusations de dernier souffle ...ils ’ont plus aucune corde à leur arc.. c’est sur !

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Mais informez nous qui est d’abord le Patron de France culture et par qui il est nommé SVP !
Supterfuges et détournements de vérités ..... et de façon ellitique ; vous repasserez si vous voulez bien .

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La Révolution de 1789 a été un complot contre le peuple, fait "au nom du peuple". Pour tous ceux qui ne se soumettaient pas, le gouvernement décréta la loi des suspects (décret prairial 1793) qui instaura la Terreur. Voilà comment la République fut imposée aux français. Aujourd’hui, rien n’a changé. Mettre en doute ce régime mafieux, dénoncer la collusion des lobbies et des loges dans l’entreprise de destruction de la culture française, c’est comploter, c’est être suspect. Et pourtant, c’est la réalité. Ce prof de science po est un crétin. Il récite la doxa : le peuple est fasciste. Il complote. Il délire. Cette haine du peuple, ce mépris de l’intelligence collective d’un peuple millenaire n’a que trop duré.

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Dans l’émission complète et vers la fin de l’enregistrement, Luc Boltanski a failli se prendre les pieds dans le tapis quand il a donné un exemple, "...prenons l’affaire des brigades....(silence) euh ! euh ! l’affaire Karachi bla bla bla..." ouïlle aïe, il a frôlé l’affaire d’état avec son lapsus intempestif (brigades à la place de frégates)... car peut-être allait-il dire "l’affaire...des brigades rouges" ? et là la question de la paranoïa s’évanouissait dans les limbes d’un "cerveau malade" non déterminé.

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Auto-quenelle !

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Très prêt d’y arriver. Mais qu’est ce qui s’y oppose, alors ? Dieu, peut-être.

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