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Retour sur l’affaire Léo Grasset : Mediapart et le mythe de l’amour safe

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20 Commentaires

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  • #2991878

    Ca part en vrille mediapart depuis la mort d’edwy plenel.

     

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  • #2991893

    Pénible ces blancs avec les barbes taillées au millimètre, les cheveux en bataille pour faire semblant d’être un rider alors que le style est très étudié, il pourrait mettre un col et cesser les tee shirts aussi, c’est à cause de ce genre de Parisien qu’ont passe pour des danseuses,
    Respectueusement.
    Un fs

     

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  • #2991905

    Pénible ces blancs avec les barbes taillées au millimètre, les cheveux en bataille pour faire semblant d’être un rider alors que le style est très étudié, il pourrait mettre un col et cesser les tee shirts aussi, c’est à cause de ce genre de Parisien qu’ont passe pour des danseuses,
    Respectueusement.
    Un fs

     

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  • #2991912
    Le 13 juillet 2022 à 17:15 par et en route pour la Joie
    Retour sur l’affaire Léo Grasset : Mediapart et le mythe de l’amour (...)

    L’Amour est la plus haute valeur ("Dieu est Amour.").

    Aujourd’hui "on" - les jeunes 15 ans jusqu’aux "pas encore casés" - cherche à remettre de l’ordre dans les relations, de la rencontre à l’engagement.

    Mais entre les deux, entre une maturité sexuelle suffisante et l’approche d’un âge rédhibitoire, on cherche surtout à gérer d’une part la frustration (le manque de sexe ou d’une idée de celui-ci issu du porno virtuel) - pour les hommes - et/ou ne pas tomber dans les schèmes (ou chaînes) idéologiques, par exemple ceux du féminisme - pour les femmes.

    En fait tout se complique quand la spontanéité ou l’instinct, disons l’"intelligence du coeur" fait défaut et empêche la rencontre (cas extrême d’aliénation), mais aussi quand on croît enfin bien s’entendre ("cette fois c’est sérieux"), alors n’importe quelle divergence d’opinion dans ce monde complexe, peut servir pourtant de prétexte à un "tu ne m’aimes plus", voire une séparation.

    Bref : il s’agit bien d’avancer à deux contre des idées erronées, ensemble contre le monde, tout en fortifiant ce qu’on pense être partagé/acquis de part et d’autre.
    C’est juste qu’il y a un combat supplémentaire à mener par rapport aux temps précédents où il faut pallier constamment à un manque de sérénité ambiante qui peut faire chavirer notre barque !

    On peut aussi estimer que c’est justement dans l’orage qu’on jauge de la force d’un amour. Exemple : Marc Boyer qui accompagna sa femme victime de Pfizer jusqu’à la mort sans pouvoir rien faire.

    Donc c’est bien le Courage qui porte l’Amour (cf. le Christ) - et non la lâcheté de l’engagement qui exprime finalement la "flemme" de vouloir s’entendre et de trouver des compromis pour continuer la route ensemble, car l’Autre finalement serait devenu interchangeable tel un rasoir Bic, un consommable... C’est le cas pour la drague juvénile ou de ceux qui ne veulent pas devenir adultes !

     

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  • #2992003

    Pénible ces blancs avec les barbes taillées au millimètre, les cheveux en bataille pour faire semblant d’être un rider alors que le style est très étudié, il pourrait mettre un col et cesser les tee shirts aussi, c’est à cause de ce genre de Parisien qu’ont passe pour des danseuses,
    Respectueusement.
    Un fs

     

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  • Le gars est un beau gosse avec du charisme , il est populaire et n’a eu probablement que l’embarras du choix, mais il a fallut qu’il ailles se coller 3 gros tromblons même pas gentille à défaut d’être jolies.
    C’est surtout celui-ci le grand mystère des queutards.

     

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    • J’ai peut être une réponse qui ne dit pas que mon cas particulier , les dits queutards qui ont été élevé sous la mère, (donc avec beaucoup d’amour mais sans exemple à suivre) ont un rapport aux femmes totalement faussé, en voulant toujours leur faire plaisir sans jamais y parvenir, par trop d’empathie envers la féminité, voir le féminisme... Pour eux une femme laide et torturée à aussi le droit au bonheur, et ils ne savent pas dire non à des femmes qui "les aiment", même si ils n’éprouvent pas ou pas d’attirance physique pour elles.
      Du moins c’est mon fonctionnement, et je pense pas que le sien soit si différent que ça du mien, même si il est bien plus attractif que moi socialement, le principe du veau élevé sous une mère toxique et loin d’un père à moitié autiste affective ment reste le même.
      On peu d’ailleurs appliquer la même choses aux femmes élevées dans la haine du père, et jalousées par leur mère, même si à mon avis le résultat est encore pire pour le mode de fonctionnement amoureux de ces femmes là. Car le système les encouragent à ne jamais se remmetre en question, alors que pour les hommes accusés de leurs propres maux non soignés c’est "obligation de soin"...
      Comprennne qui pourra.

       
    • Je dis femmes laides mais c’est pas forcément physiquement, les femmes les moins laides étant souvent aussi souvent les plus tarées intérieurement, les plus féminines avec l’embarras du choix se retrouvant souvent avec des queutards incapables de les sécuriser comme elles le voudraient affectivement, ou du moins qui rejettent tout sur les hommes sans jamais la moindre remise en question.
      Perso j’ai une préférences pour celles qui me ressemblent : celles qui ont un passé chaotique avec le sexe opposé, à commencé par leurs passé avec leurs géniteurs.... donc celles qui me ressemble. Et extérieurement elles sont hélas souvent très peu désirables.
      Donc autant attirant socialement et physiquement que puisse être le bonhomme en question, si par le plus grand des hasard il était un peu de la même cuvée maudite que moi avec des femmes qui s’intéressent à lui qui finalement ne lui plaise pas physiquement, si il se retrouve toujours à devoir gérer l’impossible avec des cassos, c’est sûrement que derrière l’image de gendre idéal se trouve un cassos qui a échappé à son destin social... Qui a finit quand même par le rattraper : la preuve.

       
    • #2992376

      Ce ne sont pas les belles qui attirent les queutards, mais les cochonnes. Tu as donc ta réponse.

       
    • @greg

      A mon sens, c’est soit du Don Juanisme, cad qu’il ne prend de plaisir que dans la séduction qui doit être sans cesse renouvelée (cad que dès que la séduction a aboutie, ça n’a plus d’intérêt. Ce n’est semble t il pas le cas ici)

      Soit c’est le fait d’être aimé le plus possible qu’il recherche, d’où la nécessité d’avoir le plus de filles possiblesis. C’est le besoin de se rassurer. Ca n’enlève rien à son talent de séducteur, mais c’est la mécanique sous jacente cad qu’il a surement eu un gros manque affectif ou un trauma, petit, à ce niveau, et il doit sans arrêt remplir ce manque.

      De toutes façons pour enquiller fille sur fille en permanence sur des années et des années, il faut avoir un souci. sinon, il y a toujours des moments où tu te poses avec une, ou que tu profites de tes sex friends. En tout cas, c’est ce que je faisais.

       
    • Bruno, t’as mal lu, recommence et essaye d’imaginer une vie d’homme pauvre, de cassos, même avec une belle gueule et une (très) grosse bite, qui fait jouir la femme, les femmes qui l’ont aimé et qu’il a aimé, lui le premier, et qui l’ont toutes, les unes après les autres, trahie salement.
      Tu comprendras peut être aujourd’hui non seulement je ne baise plus que tres très rarement (moins d’une fois par an en moyenne, mais je peux passer 3 ou 4 ans sans mettre ma très grosse queue dans une chatte dégueulasse.
      Cordialement Bruno.
      Mais perso, j’ai une femme qui m’aime, et j’ai beaucoup de chance, je ne l’aime pas physiquement, donc je ne la baiserais pas, ni physiquement, et encore moins spirituellement. Comme tout les femmes que j’ai baisé, je les aiment jusqu’à la mort en ce qui me concerne, même si elles m’ont jamais aimé réelement pour ce que j’étais, contrairement à la sainte qui m’aime aujourd’hui, sans que j’ai jamais rien fait pour.

      Aujourd’hui, de mon point de vue de jamais queutard toujours lover (pour que les choses soient claires) le sexe détruit les hommes et femmes qui s’y adonnent. C’ est foutu entre eux à ce niveaux là. Mais c’est que mon avis... Le cul, c’est de la dégueulasserie à jouissances pour branleurs individuelles qui se branlent chacun avec l’autre. Même si j’ai rencontré quelques femmes pour qui ce n’était pas le cas... Des folles, des cassos, des psychiatriques... Comme moi.

      Cramarade.

       
  • #2992118

    Se faire passer pour une victime pour mieux être le bourreau de l’autre, c’est un classique de la manipulation.
    Chacun est responsable de ses émotions.

     

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  • #2992124

    Les trois nanas sont presque exactement pareilles, et sans charme. Je ne comprends pas.
    Peut-être ressemblent-elles à sa maman ? C’est l’unique hypothèse qui me vient à l’esprit pour expliquer son choix.

    J’ai regardé quelques épisodes de DirtyBiology il y a quelques mois. J’ai été frappée par le fait que les extraits vidéos illustrant "l’amour" étaient souvent entre personnes de même sexe. Ainsi, j’ai pensé que Léo était gay. Je découvre qu’il s’intéresse (aussi ?) aux dames, semble-t-il.

    En tous cas, je trouve que ses vidéos sont de grande qualité dans leur genre.

     

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    • Léo est beau gosse, mais il ressemble à ses victimes : ni blond ni brun, ni ceci ni cela, un visage passe-partout. L’expression en est enfantine, ce qui lui ajoute un charme.
      C’est un don juan, voilà tout.
      Ce type de personnalité n’est pas modifiable. Il n’aime pas vraiment les dames, tout en en ayant absolument besoin. Ce sont des miroirs. Il se les attache par l’illusion de l’amour et ses jeux de hasard. On appelle ces garçons-là des beaux parleurs. Ils enchantent et déçoivent, donnent du bon souvenir et du stress, c’est la vie.
      La dame ne peut parler d’abus sexuel puisqu’elle recherche les attentions, y compris sexuelles, du don juan. Elle est vraiment seule avec lui dans ces cas-là.
      On pourrait dire qu’elles sont tombées dans le panneau, mais elles ont aimé certains moments, et même leur incertitude. Elles ont éprouvé de la jalousie ? C’est normal, c’est banal.
      Solution ? Rompre à jamais avec l’inconstant, faire un travail prenant, intéressant, élargir son cercle de relations... Quoi d’autre ?
      Ces don juans enfantins finissent par se marier avec une femme contrôleuse, pas fort charmante mais qui sait ce qu’elle veut, et encore plus ce qu’IL veut, le pauvre : une direction !
      Le juge ou plutôt la jugesse ne peut sonder les coeurs.

       
  • Je l’ai déjà écrit ici, mais il me semble utile d’en remettre une couche, d’autant que je suis une femme... et qui a bien vécu !

    Sans tomber dans l’angélisme à propos de ce Léo Grasset, il relève de l’honnêteté que de reconnaître l’un des travers quasi ontologique du genre féminin est d’agir et de penser volontiers en mode victime.

    C’est par ailleurs une attitude qui se défend si l’on veut bien prendre en considération l’évidence de notre morphologie plus "faible", ce qui pousse effectivement certains hommes un peu machos employer leur propre force physique pour tenter de faire "plier" une femme qui leur pose problème. Ce constat n’excuse évidemment en rien ce genre de réaction primaire !

    Pour autant, il est facile de constater la dérive insupportable (y compris pour les femmes honnêtes) qu’engendre ce néo féminisme qui n’en finit plus de rendre les hommes responsables d’à peu près tout.

    Il y a quelque chose de pervers à vouloir faire payer pour tout et n’importe quoi les hommes, et il est important de rappeler que cette attitude vengeresse ne concerne in fine qu’une assez petite quantité de femmes... Globalement, il s’agit effectivement de bourgeoises frustrées et, malheureusement, de jeunes femmes formatées par le féminisme comme réponse à tous leurs problèmes relationnels affectifs.

    Les hommes d’antan avaient prévenu... la mythologie l’a rappelé aussi et nous savons très bien, quand on est une femme honnête, que si on lâche notre puissance viscérale pour régler un problème ou faire payer quelques frustrations, que nous sommes capables du pire et que la perversion, la cruauté et l’acharnement ne nous sont pas du tout étrangers.

    J’invite ceux qui en douteraient à lire le passionnant ouvrage de R.X. Lanteri "Brunehilde, 1ère reine de France". Récit de sa vie et de son règne dans lequel on découvre, stupéfait, la cruauté et la malignité de l’une de ses concurrente : Frédégonde. Inouï, affreux, tordue à souhait.

    L’on pourrait aussi rappeler les comportements de la Médicis, de Tatcher, de H. Clinton et de nos actuelles ex responsables politiques comme, entre autres, Dati, qui coche pas mal de cases en matière de petite perversion et de comportement type "Prada" (Le diable s’habille en Prada).

    L. Grasset a eu un comportement de "mec" basique. Fort de sa notoriété, sollicité par celles qui rêvent en réalité d’être "puissantes", elles se sont pris un gros râteau, et se vengent... rien d’autre.

     

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  • #2992358

    Je trouve l’auteur de ces vidéos particulièrement assommant. Il ne remet jamais en question aucun "fait" de la modernité, il nous cite du Musset comme si on pouvait parler des femmes du 21ème siècle comme de bonnes sœurs du 19 siècle vues par un poète.

    La vérité c’est que :
    1/ Il est évident que ces femmes ne sont en rien éprises au point d’en souffrir mais bien plutôt calculatrices, perverses et qu’elles n’hésitent pas à mettre en scène une souffrance sentimentale crée pour l’occasion pour nuire à celui en qui elles voient à présent un ennemi.
    2/ le système patriarcal est traditionnellement d’abord là pour protéger un certain sexe et une certaine race d’homme, ceux qui agissent par désir quand ils agissent, et n’agissent pas par scrupules quand ils n’agissent pas, d’un autre sexe et d’une autre race d’hommes, celles qui par absence de scrupules ont libre cours pour agir, mais qui malgré tout n’agissent pas toujours tant leur désir est inexistant devant l’éternel. La tendance naturelle c’est que le pire domine le meilleur, la domination du meilleure pour le pire est surnaturelle, mais justement parce que le surnaturel existe historiquement, au moins en théorie, à travers le patriarcat, Il n’y a aucune fatalité à devoir prendre le risque de souffrir en amour comme le prétend l’auteur.

     

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