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Roland-Garros : victoire de la pro-Kamala Coco Gauff sur la Biélorusse pro-Loukachenko

La naine Noire pro-Kamala a terrassé la géante Blanche pro-Poutine ! On s’attend à ce qu’Anne Hidalgo éclaire la tour Eiffel en noir(e)... Ah, on nous dit qu’Anne est en tournée dans le monde entier, façon de dire qu’elle prend des vacances aux frais de la princesse, princesse contribuable s’entend.

 

 

Rectificatif, l’Anne de Paris fait une tournée mondiale parce qu’elle se voit peser géopolitiquement dans le monde d’après, d’après l’élection de la sorcière Rachida en 2026. Revenons au Garros.

Coco Gauff, après avoir éliminé notre Française préférée en demi-finale, a vaincu la numéro un mondiale Sabalenka, elle l’a même balayée, en finale. Les deux jeunes femmes s’étaient déjà rencontrées à l’US Open, et Coco avait déjà gagné.

Sabalenka, mécontente de son tennis, a déclaré que c’était pour ça que Coco avait gagné (en même temps, Coco a gardé ses nerfs et fait déjouer Saba). Pour la même raison, en 2023, elle en avait pété sa raquette, la grande responsable de la défaite, une fois dans les vestiaires.

 

 

En 2006, après sa finale perdue contre l’Italie à cause de son expulsion, Zidane avait décoché un coup de pied dans la porte du vestiaire français de l’Olympia Stadion de Berlin, une ville de triste mémoire. La marque des crampons était restée, les Allemands en ont fait une relique.
La petite historie raconte que Materazzi lui avait dit que Inzaghi... Non, rien. Pipo perdra 19 ans plus tard la finale avec l’Inter face au PSG, l’honneur est sauf. Tout est karma.

 

 

Coco était donc, pour le public français, la gentille qui devait absolument gagner son premier tournoi sur terre battue, et Saba la méchante, car proche de Loukachenko, lui-même proche de Poutine. C’est 20 Minutes qui le dit, donc cé vré. Sachant cela, on se demande même pourquoi Aryna a eu le droit de participer à ce Roland-Garros...

En face, on apprend que lors de la dernière élection américaine, Coco avait choisi le camp du bien, celui de Kamala, la pauvre Noire qui avait tant souffert dans les champs de coton. DeepL nous a traduit un article du Daily Mail :

Je me souviens qu’après l’élection et tout le reste, j’ai eu l’impression d’être dans une période creuse. Ma mère m’a dit pendant le tournoi de Riyad (les finales de la WTA en novembre, que Gauff a remportées) : « Essaie de gagner le tournoi pour donner aux gens une raison de sourire. » C’est donc à cela que je pensais aujourd’hui en tenant le trophée.

Et voir les drapeaux dans la foule signifie beaucoup. Certaines personnes peuvent se sentir mal à l’aise par rapport au patriotisme, mais je suis définitivement patriote et fière d’être américaine. Je suis fière de représenter les Américains qui me ressemblent et les gens qui soutiennent les mêmes choses que moi.

Mme Gauff a une conscience sociale aiguë et a toujours utilisé sa plateforme pour sensibiliser le public aux questions qui lui tiennent à cœur.

Bien qu’elle ne soit pas explicitement politique, elle a clairement indiqué où se situent ses sympathies, déclarant avant l’US Open de l’année dernière qu’il était « inspirant » de voir Kamala Harris se présenter à l’élection présidentielle.

Après le second mandat de Donald Trump, elle a tweeté : “Autorisez-vous à ressentir ce que vous ressentez dans les moments difficiles... surtout aujourd’hui. Appuyez-vous sur Dieu avec vos inquiétudes. Il est la plus grande puissance. N’oubliez pas cela”.

 

Kamala est aujourd’hui complètement oubliée. Après sa victoire du 7 juin 2025, Coco a vu et salué le réalisateur essentialiste Spike Lee et en a été très émue :

Puis la caméra a fait un panoramique sur lui dans la salle de sport alors que je m’échauffais. Je me suis dit : « Oh, mon Dieu, Spike Lee est là. » Quand je l’ai vu sur le terrain, je me suis dit : « Si je gagne ce match, la première personne que je vais taper, c’est Spike Lee. »

On rappelle que Spike, qui a peut-être un lien de parenté avec la dangereuse protéine des injections, est un réalisateur américain qui pratique le racisme anti-Blancs, très apprécié à Hollywood, bien que les patrons des grands studios soient tous blancs. Visiblement, il y a blanc et blanc, n’est-ce pas ? Tous les peintres le savent, comme il y a seize tons de noir.

 

 

Final : du haut de notre fantastique culture politique, nous nous garderons bien de donner des leçons à une jouvencelle de 21 ans qui se plante dans un domaine qui n’est pas le sien. Car face à elle, en tennis, on se prendrait un 6-0 6-0 6-0 de toute beauté.
Plus tard, forcément, elle comprendra que l’essentialisme est un racisme.

 

Adieu Loïs Boisson