Marx est complètement obsolète et il est inutile d’y revenir. Dès lors que l’ambition du marxisme est politique, c’est-à-dire pratique, et que toutes les expériences pratiques du marxisme ont lamentablement échoué, avec en plus un coût humain, culturel, spirituel et civilisationnel absolument délirant, il est coupable de s’obstiner.

Le marxisme est une idéologie qui ne supporte pas d’être confrontée au réel, à chaque fois réfutée par le réel. Ceux qui s’obstinent sont comme des enfants qui se brûleraient au feu mais, incapables d’apprendre, remettraient la main au feu, encore et encore.

Le marxisme avait une prétention "scientifique", mais quand une expérience invalide une théorie, un scientifique abandonne sa théorie pour en reformuler une nouvelle qui soit conforme à l’expérience. Ce qui reste aujourd’hui du marxisme après toutes ces expériences tragiques du soviétisme, du léninisme, du stalinisme, du maoisme, du pol-potisme, etc. c’est une rêverie éveillée, complètement irrationnelle, qui ne peut avoir aucune dimension politique ni scientifique, mais qui relève seulement de la psychologie individuelle, du ressentiment individuel et du mal-être individuel... comme on le voit très bien aux Etats-Unis où le marxisme culturel agrège tous les ratages humains, toutes les convoitises et tous les désirs de revanche... « je suis marxiste parce que je suis grosse et moche et seule alors que ma soeur est mince et belle et se tape tous les plus beaux mecs du lycée »...

Et donc on est arrivé au point où le seul usage pratique du marxisme est de confirmer et d’entretenir le sentiment (psychologique) d’aliénation - lgtbq+, racisés, féministes caractérielles, etc. - d’individus regroupés en collectifs para-thérapeutiques.

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Pour la cadence des machines, il faut suivre et il est certain qu’une grande partie de l’énergie de l’être humain est absorbée, j’ai toujours eu une très grande admiration pour mes collègues qui avaient passé de longues années en usine et la pire expérience qui m’a été relatée est celle où les ordres sont donnés par voie artificielle où la personne le casque sur les oreilles préparent les commandes à un rythme déshumanisé.
Ce que je vois en agriculture est guère mieux, les patrons que je vois travaillent et sont tenus à une production, production qui peut basculer dans le néant suite à la maladie, aux intempéries, sans production il n’y a pas de bénéfices et sans bénéfices, c’est la chute finale.
Le capitalisme, ce n’est pas eux, il est au dessus d’eux, la machine qui les écrase, c’est une très grosse machine.
J’assiste à une banqueroute où les personnes ne peuvent même plus s’offrir le luxe d’avoir des ouvriers, parce qu’ils ne pourront pas les payer et pour moi, on est entrain de faire crever les paysans.

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L’internationaaaaleee sera le genre humain, poil dans la main.
Pauvritude, inexactitude et servitude, je parle du discours marxien. Oui, car les anciens (très anciens) qui avaient de la barbe, mais aussi des locks, nous ont appris 3 choses importantes à bien turbiner au fond de son crâne de piaf : 1) Ce que certains appellent le réel n’est qu’une illusion. 2) Ce que certains appellent une personne n’est qu’une autre forme transitoire et 3) Que ne pas connaître la réalité et l’essence de l’être, c’est être dans l’ignorance et engendre la souffrance. De plus, vous confondez le travail avec le salariat, mais toute l’astuce marxienne est là, avec l’histoire du réel et du méchant capitaliste, la forme moderne de l’esclavagiste.

Le marxisme est donc une tentative de reprendre le pouvoir sur les travailleurs en les désaliénant. Libres, plus libres. J’ai vu sur une tablette de chocolat qu’il était "encore plus équitable" ! Croyez, car c’est une croyance, que vous êtes aliénés et vous les serez. Définissez l’homme comme un esclave et la société comme brutale et ce sera votre quotidien mental. Je comprends un peu mieux l’infantilisme gauchiste et ce besoin bien sémite de vouloir "se retrouver", "redevenir créatif" et de réparer le monde. Ah, je note aussi la petite attaque du début sur les cathos > donc la religion. Fillette, t’es pas au niveau, lâche l’affaire. Le monde ne se résume pas aux concepts de la sphère judeo-occidentale, Il faudrait sortir de votre ghetto, ou pas.

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Marx n’a jamais travaillé

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Le but de Camille serait « d’ouvrir des perspective de réflexions personnelles ». En ce qui me concerne c’est mission accomplie. Je n’ai jamais eu le désir ni le temps de lire certains auteurs. Camille me les fait découvrir sans prise de tête. Merci ER !

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