La dessus OK ,..... pour le reste c’est le beppe grillo français ...ou je me gourre ? ? ...voir l’article et la vidéo , sauf pour la structure qui en est à ses balbutiements ! Perso , c’est pas ma ligne , mais une famille est aussi composite ...donc à suivre !

Les douzes étoiles ne représentent pas les pays fondateurs de l’Union Européenne, qui n’étaient pas douze mais six.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, la symbolique de ce drapeau fait référence à la Vierge Marie, les douzes étoiles évoquant la Dame revétue du Soleil et couronnée de douze étoiles du livre de l’Apocalypse de St Jean ; et le bleu est la couleur mariale traditionnelle. De plus le décret instituant ce drapeau fut signé un 8 décembre, jour de l’Immaculée conception.
Ainsi les étoiles du drapeau ne font pas référence au nombre de pays. La symbolique chrétienne du drapeau fut, du reste, très critiquée, notemment dans les pays à forte tradition laïque.

Oui à Yann. Je me souviens d’avoir lu cela dans un France-Catholique des années 80, ce périodique étant tout fier d’avoir réussi à détourner la symbolique de ce drapeau-emblème, alors très “dans le vent”, en faveur de la symbolique marialo-apocalyptique.

Comme quoi rien n’est simple, et la guéguerre des lobbies peut conduire, à moyen terme, à des actes militants fort ambigus : depuis 2005, au moins (vote négatif français au référendum sur le traité constitutionnel européen), arracher ce drapeau, comme on nous y invite ici, peut sembler légitime... Mais est-il un acte anti-atlantiste-laïciste-NWO... ou bien anti-chrétien, voire anti-catholique (cf. la centralité de la Vierge Marie) ? Apparemment, cette problématique échappe à l’instigateur de cet acte rebelle.

En fait, ces deux composantes méta-nationales : euro-chrétienne et euro-atlantiste étaient présentes dès l’initiation de l’idée européiste... les chrétiens ayant d’ailleurs une énorme longueur d’avance, temporelle, eux qui vivent l’Europe romaine - certes pour les plus “ouverts” et donc authentiquement “catholiques” d’entre eux -, au quotidien comme depuis le Moyen Age, voire l’Antiquité tardive (certes avant les Réformes clivantes puis la montée des nationalismes).

Il me semble donc que les militants “anti-Bruxelles” néo- ou alter-nationalistes s’éprouvant chrétiens devraient se garder d’arracher cet emblème pour, au contraire, en retrouver et magnifier la trop négligée symbolique mariale et mystique, par exemple en y ajoutant une grande croix blanche, un crêpe noir ou un chapelet.

Cela dit, je n’en serai pas : à la militance à courte vue, conflictuelle, voire à terme “euro-civilo-guerrière”, je préfère l’approche autrement plus approfondie s’efforçant d’élucider la “Dive-Rencontre” entre la symbolique mariale et celle de l’Apocalypse de Jean de Patmos : touchant visiblement au Tréfonds comme aux Confins, et à en juger par sa convergence avec “l’esprit” des arts premiers, ou “païens”, ainsi affranchie des “logiciels” monothéistes, suprémacistes-pervers, elle semble ouvrir à la mystique et à la possible logique trans-traditionnelles, donc à la foi raisonnée, à la “science & conscience” ; là pourrait bien résider - en tant que Révélation pérenne - la véritable mais dure piste de fraternité entre tous les humains (au moins...) ayant jamais vécu, depuis le paléolithique jusqu’à l’éventuel trans-humain... Une bien belle messe & promesse d’“Egalité & Réconciliation” !