Le tissu commerçant français est tué à petit feu et à dessein par le système de prédation fiscale. Ce n’est pas Macron qui l’a inventé, il l’a juste amélioré et durci.

Les Français n’ont jamais autant payé pour la couche parasitaire de l’État et de la Banque. La TVA, cet impôt injuste et direct arraché de la poche des pauvres, se retrouve en partie dans la poche des grandes entreprises, c’est désormais prouvé. On savait depuis quarante ans que le capital était favorisé par rapport au travail, mais aujourd’hui, ça saute aux yeux.

En réalité, les salaires baissent et les entrepreneurs souffrent. Tout se casse la gueule, sauf le CAC 40 et la Banque, qui engrangent des centaines de milliards. Dire que la presse mainstream a chanté pendant des années les louanges et les bénéfices de ces grandes entreprises, ces fleurons français, qui au fond s’enrichissaient sur le dos de la Bête... Une presse qui soit dit en passant vit aussi sur le dos de la Bête, forcément immonde, avec deux milliards d’aides diverses par an.

Malheur à celui qui a du mal à boucler les fins de mois, Bercy lui tombera sur le dos avec mille poignards. Le cochon de payant n’a jamais aussi bien porté son nom, sauf que bientôt, il n’aura plus un fifrelin à remonter vers la pointe de la pyramide sociale. À la fin, quand le mouton se réveillera, il faudra l’égorger : la guerre est là pour ça, et elle a été programmée pour 2026, probablement au moment d’un crash financier.

Qui est vraiment Sébastien Lecornu

 L’homme qui a menacé de réquisitionner personnels, usines, stocks, pour mettre la France en « économie de guerre ».

 Celui qui, avec la loi de programmation militaire 2024-2030, a donné à Macron le droit de saisir « toute personne, tout bien, tout service » par simple décret.

 Le ministre qui expliquait déjà qu’« il faudra continuer à renforcer l’armée ukrainienne même après la guerre »… autrement dit : enfermer la France dans un conflit éternel contre la Russie.

Voilà le vrai visage de Lecornu : un serviteur zélé du Système, prêt à sacrifier nos libertés, nos ressources et notre avenir pour une guerre qui n’est pas la nôtre (Charbellakis)

Le déficit public, c’est la faute de ces malades de Français !

Le Malin, par définition, est malin.