Marc-Édouard Nabe n’est, lui, absolument pas inquiété par les pouvoirs publics lorsqu’il se livre, au premier degré, à l’appel au jihad le plus sanguinaire.
Au-delà de cet acte de guerre, contre des innocents, contre une rédaction, le premier devoir du journaliste, comme de l’enquêteur de police, est de garder la tête froide.
Pour ceux qui étaient à l’étranger, dans le coma, ou dans les choux en 2014, voici une rétrospective des événements essentiels qui ont fait, cette étrange année.
Malgré tous ses efforts pour se rendre cool, intelligent et drôle, en un mot attractif, le système n’arrive à apparaître, sous la pression montante de la dissidence, que nerveux, fourbe et cruel.
Faire la cuisine est aussi important que de « faire la politique ». Les hypermarchés de la pensée (médias) et de la bouffe ont fait de nous des assistés et des handicapés.
Le grand remplacement s’est déjà opéré au niveau de l’élite politico-médiatique. Pourquoi s’emmerder à remplacer les rameurs, si on peut s’emparer de la direction du bateau ?
Au moment où l’on accuse des historiens de se pencher un peu trop sur la Seconde Guerre mondiale, voici que les idéologues antiracistes s’attaquent à la Première.
S’il ne s’agit pas d’incitation à la haine raciale voulue par le lobby sioniste pour casser la dynamique de Réconciliation nationale, cette campagne y ressemble fort !
En vérité, le socialisme actuel est cent fois plus puissant que le socialisme stalinien, car il propose une collectivisation désirée par l’individu. Le piège est parfait.