Étrange quand on discute avec les africains, ils sont tous satisfaits de leur dirigeants et les défendent, mais lorsqu’il s’agit de pointer les incohérence, y a comme un malaise.
A un sénégalais :
Le pays a été félicité pour son programme libéral, comme lorsque DSK s’est pointé en Tunisie ...
A un algérien :
Quand on a 200 milliards de réserve (vieux chiffres), pourquoi venir mal s’entasser dans un pays qui va en direction de 100% de dettes.
Avec le d’origine algérienne, y a moins moyen de discuter.
Avec l’algérien nouvellement français, la discussion est plus sereine.
Par contre, je me souviens avoir parlé avec un tunisien, qui était très lucide sur la Tunisie Etat Policier et mafieux.
Les marocains aussi semblent plus ouvert, mais pas pour une révolution, une évolution tout au mieux.