Depuis le temps qu’on nous assure qu’il y a des prisonniers français, turcs, etc... je de la peine à croire que le gouvernement syrien n’ait pas utilisé cette arme sans pareille... étrange non ? pas la moindre image, le moindre bout d’enregistrement des prisonniers, rien. Autre possibilité : les prisonniers existent bel et bien, le fils d’Afez el Assad dispose alors d’une bombe à retardement, il est alors possible que le président de la République française, peu avant le premier tour des présidentielles, ne soit obligé de retourner se réfugier chez ses ancêtres à Tel Aviv, si d’aventure il existe un seul juge honnête en France. Mon petit instinct me dit, malheureusement, qu’il n’en est rien, que ces prisonniers n’existent pas, tout au mieux des mercenaires. J’espère, chers amis d’E & R, j’espère me tromper.