Depuis des décennies tout mouvement contestataire occidental est fabriqué et dirigé par les services, c’est bien plus commode pour le pouvoir pour les arrêter au moment médiatiquement opportun tout en prévenant tout danger. La marque de fabrique du FBI est de leur vendre des armes et de les arrêter à ce moment là (ce qui est peu judicieux).
Occupy était un mouvement qu’ils n’ont pas initié, un mouvement réel, et il n’y a rien au monde qui les fasse chier dans leur froc comme la liberté. Il suffit de voir le dispositif policier prévu pour empêcher l’apéro facebook de Paris, pour protéger Sarkozy au salon de l’agriculture ou assurer le sommet de l’OTAN à Strasbourg pour s’en convaincre.
Ces mecs chient dans leur froc dès qu’ils croisent quelqu’un qui n’est pas complètement canalisé, soumis et sous contrôle. Aussi, afin de garder leur slip propre ils ont besoin de massivement déployer des mercenaires lourdement armés partout ou se trouve la population, ce qui démontre si besoin en était que cette dernière est traitée comme un ennemi parce que le pouvoir sait à quel point il trahit.
Donc bien sur les affaires de terrorisme liées à Occupy vont éclater, toutes d’ailleurs montées de main de maitre (ou pas) par le FBI parce que la méthode légaliste qui consiste à interdire ne fonctionne pas comme il est démontré actuellement au Québec. La liberté est l’ennemi du pouvoir, il la contre par l’anti-terrorisme.