Ne vous en déplaise, je serai, pour ma part, tout à fait favorable au droit au blasphème si on avait le droit de rire d’une synagogue ou de pouvoir rire ou de discuter d’autres lieux de cultes (celui qui commence par "O-" et finit par "-chvitz"). Ce qui ne va pas dans cette affaire ce n’est pas le blasphème en lui-même mais bien l’aspect inéquitable de l’affaire.