Conférences d’Arnaud de Lassus et Dominique Tassot
15 octobre 2012 22:07, par QuoVadis(Suite)
Suivant la théorie des "cordes" de la physique quantique, des chaînes d’atomes reliés entre eux en "bouts de ficelles" vibrent et résonnent suivant une fréquence et un ton qui a un ratio de 1,618. Les différents tons définissant la nature type de chaque chose. En somme la nature nous joue une symphonie magistrale et coordonnée.
La théorie de l’évolution de Darwin rejette le fait que tout puisse avoir été créé à l’origine par un Créateur. Ses idées satisfaisant tous ceux qui ne juraient que par un monde matérialiste par conviction ou par intérêt, qui rejette l’existence de Dieu. La théorie de Darwin soutient que toutes les espèces descendent d’un ancêtre commun au moyen de transformations progressives sur une durée temporelle très grande mais il n’y a jamais eu aucune preuve validant cette théorie. S’il y avait eu un ancêtre commun, alors quand et comment est apparue la première cellule de cet ancêtre ? Il n’a pas répondu à cette question, s’imaginant la cellule primordiale comme une brique simple élémentaire qui a transmuté anarchiquement, alors qu’il ne se doutait pas de la complexité extrême d’une simple cellule et des quelques milliers d’opérateurs qu’elle contient se synchronisant et oeuvrant de concert (à la manière de la fourmilière ou de la ruche) dans son processus de développement. Après des décades d’expériences, les scientifiques évolutionnistes (Oparin et Miller) n’ont pas pu recréer la cellule originelle et ont fait un constat d’échec. Chaque chose vivant sur terre est faite de milliards de cellules d’1/100e de mm, certaines sont unicellulaires. La cellule comporte des centrales électriques, des usines, une base de données complexes, un système de stockage, une raffinerie et une membrane cellulaire qui contrôle tout ce qui rentre et sort. Il est donc impossible qu’un système d’une telle complexité soit le fruit du hasard. On a calculé que la probabilité d’obtenir une séquence d’acides aminés fonctionnelle (une protéine composée de 150 acides aminés) parmi toutes les combinaisons d’acides aminés possibles était de 1 sur 10 puissance 74 qui multiplié à d’autres obstacles comme les liens peptidiques (liens des protéines entre elles) et les orientations isomériques (symétrie gauche-droite dans la distribution des atomes), on atteint la probabilité de 1 sur 10 puissance 164 d’avoir une protéine par hasard à partir des éléments de base.