Ce que je souhaitais dire, et éventuellement faire prendre conscience, avec mon petit exemple du Courbet, c’est que les pires ordures politiques (et là aussi, j’ai pris un bon exemple) sont prêtes à faire feu de tout bois, et pire encore. Ils savent les forces et les faiblesses de chacun pour les exploiter à fond du fond. Et le pilou qui ne peut pas prendre les transports en commun sans être gêné par un petit bout de chair, c’est une faiblesse, qui, à terme peut donner lieu à la création et à l’application de lois liberticides dans "le bien de tous" (reséli 1984 de George Orwell, silteplize), là où les pains au chocolats d’hier risquent d’être les petites chouquettes fourrées de demain.
Pour ceux qui n’auraient pas compris, je n’ai jamais croqué le coup des pains au chocolat,
je suis né, j’ai grandi, je vis dans le quatre-vingt-zeutré et je connais très bien quelqu’un dont toute la carrière professionnelle a été institutrice en maternelle dans ce même département. Par contre, "au nom de la religion" (cf. Don Piero Corsi), il y a un fort potentiel de manipulations.
La mienne, de religion, est simple : "La voie à suivre seul" de Miyamoto Musashi, question discipline, euh... bref, zyva voir... c’est ce qui m’a permis de dire plus haut : vous tournez en rond dans votre enfer.