"Libération", feuille paroissiale du culte bobo
15 février 2013 14:47, par petittroupeaule problème c’est que l’Eglise quoi que l’on en pense fait pas mal de concessions au monde, et celui-ci en exige toujours plus sans rien donner en échange c’est souvent de l’unilatéralisme au bénéfice de ce monde dont son phare est "libération" entre autre.
Il faudrait que l’Eglise ait le courage de dire stop et de revenir à ses positions traditionnelles telles qu’elle devrait toujours le faire malgré même l’évolution ou le "progrès" comme l’on dit car elle redeviendrait ainsi le phare auquel tout homme de bonne volonté pourrait se raccrocher au lieu de tomber un trop facilement dans le camp facile et large du matérialisme ambiant tant adulé par "libération" entre autre. Ce serait vraiment quelque chose de beau, un idéal qui redeviendrait une réalité quitte à devenir martyr s’il le faut mais le monde en définitif serait heureux de voir ce phare briller en contraste avec les fausses lumières de ce monde qui n’apportent pas le bonheur on le sait bien, car le bonheur ce n’est pas de la jouissance à tout va, ce slogan bien soixante huitard "jouissons sans entraves" sonne faux, on croirait que c’est la liberté que l’on demande mais c’est la licence donc un vice il faut appeler les choses par leur nom. C’est la demande exigeante des jouisseurs pour toujours plus d’hédonisme en faisant taire de plus en plus la morale pourtant si nécessaire et salutaire à notre équilibre humain. La morale est dénigrée parce qu’elle apporte un frein souvent aux pulsions humaines, mais là aussi c’est une fausse conception elle nous permet au contraire de respecter la dignité humaine de chacun et si des exemples de l’actualité (mauvais en soi) ont été permis par la Providence c’est pour nous rappeler ce caractère de la morale donnant la dignité à la personne (ex avec DSK, les merdias présentent l’affaire comme une partie de plaisir souvent mais on voit bien là que cela a été unilatéral encore une fois, si la morale avait été suivie dans cet exemple la dignité de chacun aurait été respecté justement. Il faudrait revenir à cela comme sous nos ancêtres qui mettaient de la distance entre eux, ce n’est pas un signe de dédain comme le soulignent si souvent les révolutionnaires mais plutôt un signe de respect, de se dire vous êtes comme moi un être humain qui a droit au respect donc respectons nous mutuellement d’où le bannissement de toute familiarité facile comme c’est le cas aujourd’hui. Il faudrait que les gens le réapprennent cela)