L’économie tunisienne était globalement basée sur le tourisme et tout ce qui s’en découle (hôtel, discothèque, alcool, prostitution…). Elle s’en sortait plutôt bien.
Avec un gouvernement « d’inspiration religieuse », comment réconcilier ce côté « impur » de cette économie et les dogmes de l’Islam ? Comment connecter le spirituel et l’économique dans un pays qui, depuis son indépendance, a choisi « le pragmatisme laïque » au détriment de « l’archaïsme religieux ».
A moins que le peuple tunisien ne se transforme en ascètes se contentant d’olives et d’huile d’olives, il n’y a pas de miracle économique en perspective.

L’Empire euphorique devient subtilement sarcastique.

Le Pire DK