Les banques tremblent, la situation est désastreuse. Ces fumiers assomment les plus pauvres avec des coûts disproportionnés en rapport à l’acte (une lettre non recommandée, simple courrier pour vous dire que vous êtes dans le rouge : 25 €). Je n’attends qu’une chose, le coup de sifflet et les banquiers et agents de banque vont pleurer leur mère. Aucune pitié, même pour les simples employés car on choisi de travailler pour une banque, ce n’est ni un métier, ni une vocation. Un banquier est avant tout un commercial qui distribue les produits concoctés par son entreprise et un voleur quand il s’agit d’appliquer les règles intransigeantes de leur système.

Etant dans le rouge, j’ai eu quand même l’audace de fumer verbalement l’interlocuteur qui m’appeler pour ma banque avant d’apprendre (en fin de conversation) que c’était le patron de l’agence lui-même. Je lui ai mis dans son assiette que lorsque les banques "fautes", l’état rembourse des milliards alors que le simple citoyen est contraint un subir un barbarisme financier. Il a tenté de m’enfumer comme quoi l’état avec déjà fait un bénéfice de 250 millions d’euro par rapport aux remboursement. Je lui ai demandé gentillement s’il prenait tout ses clients pour des cons finis. J’ai clôturé la conversation en ne lui laissant pas me balancer sa merde de propagande. Depuis, ils s’avère qu’ils sont plus doux avec moi qu’avant cette échange.

Une banque c’est comme un évier tant que le flux entrant équivaut au flux sortant, ça va. Dès qu’il y a déséquilibre, c’est un réel aspirateur vers la déchéance sociale. Donc rien que pour tout les hommes qui sont tombé sur la tranchée de la banque ils ne méritent aucune pitié.

Face à une telle machine infernale, seule l’union peut faire force. Ces mecs n’éprouvent aucun scrupule, n’ayons aucun scrupule à insulter ces sous-humains et à les secouer si besoin est. Les banquiers et tout ce qui touche à la finance = peine de mort. Ils savaient ce qu’ils faisaient, il n’ont éprouvé aucun scrupule à faire que des gens se suicident, perdent leur emploi, leur famille. Tout ça c’est du carburant pour les fours de l’enfer.