...Makhanor,
oh lalaaa ! mais qui est cet énergumène qui ose critiquer "l’histoire intouchable" du "peuple élu" imposée à tous... !!! et ce, juste qu’à la fin des temps ???
Voilà pour l’emploi de l’adjectif "hystérique", que ceux qui ont réagi posément et sans procès d’intention me pardonnent cette généralisation excessive.
Je ne remets certainement pas en cause l’intérêt ni la qualité de ce livre, ne l’ayant pas lu, je me suis seulement permis une petite remarque concernant une phrase qui m’a fait tiquer.
Je reconnais que la forme de mon intervention était un peu cavalière, peut-être devrais-je incriminer la chaleur, ma fille qui hurle ou plus raisonnablement les 400 leucocytes qui se débattent péniblement dans mon corps...
Quoi qu’il en soit, sur le fond :
je trouvais simplement réducteur de considérer le mythe shoatique dans son unique fonction d’interdit de toute critique générale de la société libérale.
Il s’agit d’un mythe, d’un récit qui s’inscrit dans une temporalité sacrée et qui tient lieu d’anthropogonie : l’Histoire n’est plus qu’un magma obscur d’où surgit l’homme nouveau né du grand péché originel shoatique.
Les juifs pécheurs ont été sacrifiés comme l’agneau afin que la fumée de leur consumation remonte aux narines du Dieu Yahvé qui, satisfait, offrit aux grand prêtres le tribut de cet holocauste : la Palestine.
Vieille promesse...
Il est évident que le logos n’a rien à voir là dedans et si l’analyse économico-historique ne manque pas de pertinence, je pense que les leviers occultes de manipulation de la psyché collective sont bien plus puissants et importants.
Vous avez tout à fait raison concernant la volonté de dissimuler une certaine efficacité économique et sociale relative au national-socialisme mais je suis convaincu que la menace permanente de la répétition historique du "Mal" sert surtout à assurer la mise en place progressive des instruments de pouvoir au niveau mondial en vue de l’asservissement final et de l’accomplissement de la prophétie.
Il faut à tout prix que cette mise en place parvienne à son point de non-retour, où les esclaves n’auront tout simplement plus les moyens de se défaire de leurs chaînes lorsqu’ils auront ceux d’identifier leur maîtres.
Il y a une chose essentielle à comprendre concernant la "Shoah" : il ne s’agit pas seulement d’un "devoir de mémoire" abusif, c’est avant tout une menace.
M.