Bassam Tahhan sur l’assassinat de Mohamed Brahmi en Tunisie
27 juillet 2013 21:18, par SansFin
Je n’ai aucune preuve mais qui a l’habitude de se "glisser" entre deux groupes politiques ou idéologiques ou religieux, en tuant ou créant dans l’ombre un incident suscitant la vengeance,
et qui disparait et qui attend une confrontation et le chaos dans la division ?
Nous avons vu se répéter de très nombreuses fois cette façon de faire ?
De la même manière que des missiles sont étrangement lancé de la Palestine vers Israël à chaque négociation de paix, même quand elle donne l’apparence d’aboutir ?
Quel intérêt les palestiniens auraient d’envoyer un minable missile dans un tel moment crucial ? Quel intérêt la partie adverse aurait de tuer cet opposant Mr Brahmi sachant que tout les désignera comme coupable ? Aucun.
Et quand ce genre de schéma se présente, lorsqu’on se pose la question à qui profite le chaos qui en découle ? ce n’est pas toujours le camps adverse le responsable, qui s’avère souvent le coupable "évident" mais les "sauvages tapis dans l’ombre" qui imaginent et manifestent de tels scénarios, comme des empêcheurs de stabilité ou de solution d’accord en contradiction avec leurs intérêts.
Comme exemple pour illustrer, souvenons nous de cette femme iranienne tuée devant des caméras ou des phones, en pleine révolution verte.
Quel intérêt pour le gouvernement iranien ?
Ces événements agissent comme de l’huile sur le feu.