J’ferais pas le bécheur (humour de jardin), l’exposé est sympa (et plus sérieusement, remarquable). Monsieur Jovanovic cultive (ben ouais) le culte Blythe Masters avec talent. Ici, Jova nous l’aimons, car parmi les économistes décapants c’est lui le meilleur. Bref, c’est le notre (facile).
Mais quel combat pour cet homme, écartelé entre son devoir de faire savoir (salut à son éthique) et l’amour qu’il porte à cette femme cruelle.
En tous les cas, elle est nulle Blythe, il est sympa et pas mal Jova, Merde ! Et comme il l’a fait connaître à plein de gens, elle lui doit au moins un repas aux chandelles (si c’est au resto, le galant Jova, dette ou pas, paiera, sûr). Ah, l’amour !.. (Elle lui a déjà mangé le coeur... Pourvu, si la soirée se prolonge, qu’elle ne fasse pas sa blythe religieuse. Jova, qui pour l’instant à toute sa tête, ne s’en remettrait pas...)