Respect pour notre police, pour nos gendarmes.
Tous ceux qui critiquent, derrière des pseudonymes, ne risquent pas leur vie, ne font pas du mieux qu’ils peuvent pour arrêter des délinquants sitôt relâchés par la justice.
Au nom de la réconciliation, justement, tendons une main à ces citoyens, à ces hommes et ces femmes qu’on est bien content d’appeler quand on a un problème.
Au contraire, ce serait au peuple, à nous tous, de montrer que nous soutenons notre police, nos gendarmes, nos soldats.
Il faut rapprocher le peuple dans le cœur de ces hommes, il faut qu’ils sachent qu’on les soutien.
Cela vaudrait la peine de manifester à leur côtés, de porter des banderoles.
Ne parlons pas comme des petits pseudo révolutionnaires anti-flic, comme des antifa.
Si "révolte des nations" il doit y avoir, elle ne se fera qu’avec des ouvriers, des petits patrons de PME, des gens de la classe moyenne, des soldats, des policiers, des réservistes.
Peut être même de simples citoyens qui devront lutter à leurs côtés.
Peut être aussi qu’il faudra compter sur le soutien d’une grande nation étrangère...
Tous ceux qui font la force de la nation et que certains voudraient nous voir détester :
ouvriers contre petit patron, citoyen contre policier, français de souche contre français d’origine étrangère, stop à la division...
Marchons ensemble dans le même sens.
Imaginez un cortège de civil manifestant aux côtés des policiers, du jamais vu, ce serait un fait marquant, un signe révolutionnaire.
Plus les forces de l’ordre se sentiront proches et soutenues par le peuple, plus leur cœur ira vers le peuple.
Comprenne qui doit.
Jérôme