La rage intacte des Pussy Riot libérées
26 décembre 2013 05:28, par Le juste
Avoir pitié du vice, c’est s’assurer de le voir se retourner contre soi. Notre ami Poutine aurait du s’assurer qu’elle méritait un quelconque pardon. Sauf si cette sirène diabolique est un poil intelligente, elle ne devrait pas tarder à se venger en allant poser ses excréments physique et verbales sur l’autel d’une église ou sur la place rouge.
Au sein du Kali yuga, le diable recrute les âmes faibles qui se laissent attendrir par l’illusion de la beauté d’un visage d’ange, mais dont le véritable visage est celle d’une vieille et méchante sorcière.