Je comprends les sentiments ambiguës et cette frustration décrite dans cette lettre à E&R. Personnellement, je n’ai plus de télévision depuis 2007 et j’ai résilié mon abonnement au journal régional le mois dernier. Leur formulaire de résiliation par le net, aux fins de statistiques, demande le motif de la résiliation. J’ai donc indiqué que je ne supportais plus leur manque de déontologie, leur partialité et leurs mensonges alors qu’après plus de 4 semaines de polémique sur la Quenelle, ils continuaient à qualifier le geste de salut nazi inversé dans leurs articles. Désormais, je me contente de la radio et des sites internets pour m’informer et ce afin d’avoir plusieurs sons de cloches, et très rapidement, on voit bien lesquels ont le plus de déontologie. J’espère de tout coeur qu’il n’y aura pas de guerre civile en France, que les citoyens seront suffisamment lucides et responsables pour changer les choses sans violences excessives. Il n’y a rien de pire pour un pays que la guerre civile, bien pire qu’une guerre contre un ennemi extérieur. Le fait que certains intérêts internationaux veulent fragiliser des pays pour en prendre plus ou moins le contrôle est évident. Pour une "mauvaise" dictature (c’est à dire qui ne suit pas la ligne dominante US), vous pouvez toujours invoquer le motif soit-disant "légitime et humaniste" de la libération de son peuple pour y déclencher des attaques militaires (soit-disant préventives). Les exemples sont légions. Mais une démocratie ? On ne peut l’attaquer militairement. On la déstabilise donc, économiquement, socialement, culturellement, financièrement et si on arrive à y déclencher une guerre civile, c’est le jack-pot. Le propre peuple du pays se détruira et à moindre frais pour l’initiateur du cahot. (voyez ce qui se passe en Ukraine). Il n’y a plus qu’à prendre le contrôle du pays sous prétexte de lui venir en aide. "Mefiez-vous de vos amis" disez le sage. Souveraineté nationale avant toute chose et fraternité entre les peuples dans le respect des différences.