Tout ça parce qu’ils ont vu bernyhenrylévar (nom de code : héron morbide) perché sur des décombres, puis sur une estrade en train de glavioter. Ce n’est pas un émissaire, c’est un ’virus libre’ (mais stipendié) la levure dans la farine, la gangrène après l’amputation, la vérole après ’l’amour’, le vomito d’après la cuite, une conséquence désastreuse. Un cinéaste qui a compris que c’était moins difficile de jouer avec des acteurs morts que des vivants parce qu’on pouvait bouger et causer à leur place. Au prochain festival de kahn, il va ramener sa science et postuler pour l’oscar du meilleur charognard ; les Golden Carrioners, (cherches pas, c’est un tout nouveau concept pour une très vieille habitude...) Prends-le Vladi, on te le donne.