Québec : les libéraux l’emportent, Pauline Marois annonce sa démission
10 avril 2014 19:04, par MivilleLe Parti Québécois, on ne le soulignera jamais assez, est la branche québécoise du PS français, et issu comme lui de la même "chienlit" mondialement organisée de 1968, sous l’égide des mêmes conseillers publicitaires (Baudrillard, Attali, Morin...). En résumé, sa politique est un nationalisme bobo Plateau Mont-Royal et village gay Saint-Denis de Montréal tout comme le PS est le tenant d’un socialisme bobo rive gauche et village gay Saint-Denis de Paris. Le PQ a d’entrée de jeu défini le nouveau pays à créer et à rendre souverain comme avant tout féministe radical et à base de pouvoir gay, ce à la grande déception de beaucoup d’idiots utiles de la première base militante nationaliste traditionnelle.
La toute première mesure de ce parti en 1976 fut d’exonérer de tout chef d’accusation le grand théoricien et praticien juif de l’avortement pour tous et toutes, Henry Morgentaler, reconnu entre autres pour aimer la soupe chinoise aux avortons. Le slogan qui retentit alors au parlement comme dans beaucoup de manifestations d’appui fut "le nouveau Québec va commencer par l’avortement, ou il ne se fera pas" (Denise Boucher). La promotion du lesbianisme comme consécration ultime de l’émancipation féminine fut une autre oeuvre de propagande de ce gouvernement via les revues subventionnées. Dans le domaine économique, il convient de noter l’oeuvre magistrale de l’agronome Jean Garon, qui introduisit le tout premier porc OGM vendu comme viande blanche aux Japonais, nourri de maïs round-up Monsanto (première mondiale) cultivée dans la vallée de la Yamaska, maintenant devenue un désert de pollution. Il est vrai qu’une loi importante fut promulguée qui assure la primauté du français, sauf que le vrai but de cette loi était d’imposer une terminologie empreinte d’une rectitude politique toute particulière rendant illégale et incorrecte toute expression trop sincère et émotive. En 1998, on ne le soulignera jamais assez, ce parti fit du Québec le tout premier pays à recommander le mariage gay et à mettre en place des programmes sociaux pour favoriser son développement, d’ou l’immense déception de Madame Taubira entendant la nouvelle de la chute de ce parti. La même ministre auteure du projet, Madame Marois la cheftaine d’état sortante, mit en place aussi des cours d’éducation sexuelle pratique d’essai des deux orientation sexuelles pour mieux aider les jeunes à mieux faire leur choix (Marion Sigaut en fit la constatation lors de sa visite à Montréal).