Dans le contexte palestinien actuel, de la réconciliation entre Fatah et Hamas, notre machiavel Dondedieu (en hébreux Netanyahu) n’aurait pas trouvé meilleur terreau à la discorde qu’un rapt avec assassinat (non revendiqué). Ce fait, divers dans un pays où la violence du bulldozer est quotidienne, monté en aiguille par les médias, arrangera ici bien des constructeurs de pavillons de colonies. On arrivait devant un un dilemme insoluble : Comment continuer à coloniser face aux échéances. La guerre fait oublier toutes les obligations et les belles promesses demandées à genoux par l’ONU, depuis 6 mois et 66 ans. Que les palestiniens se révoltent fera oublier aux moutons qu’ils prévoient déjà de raser Hébron.