Quand ils auront coupé le dernier arbre,
pollué le dernier ruisseau,
pêché le dernier poisson.
Alors ils s’apercevront que l’argent ne se mange pas.
......... Or c’est justement sur cette 4è ligne de touche qu’il faut agir en inversant le propos. Du temps des rois on faisait rendre gorge aux avides en tous genres, maintenant il faut au contraire engorger les mêmes vermines parasitaires de billets (faux ou de peu de valeur) de banque jusqu’à étouffement en les gavant comme des oies après voir préalablement agrafer industriellement les naseaux de ces rapaces afin qu’ils soient contraints d’avaler leur mort jusqu’à la mort.