Israël : le serment d’allégeance de Valls
12 août 2014 18:03, par l’oracle a dit...
Si notre premier ministre s’obstine de la sorte, c’est qu’il a dû recevoir de solides garanties sur son avenir politique, non ? en tout cas, on a bien compris que le bien-être des Gaulois, leur avenir et leur sécurité, n’étaient pas les priorités des hommes politiques qui aspirent à la fonction suprême- suprême en quoi, d’ailleurs ? quand on y songe, cela revient, une fois élu et les clés de l’Elysée en poche, à attendre sagement les ordres de Bruxelles et de Berlin, et d’obtempérer docilement...quel être sain d’esprit et animé de bonnes intentions voudrait d’un job pareil ?