Dans cette affaire, on constate jour après jour que la situation en Centre-Afrique n’est en réalité qu’un immense bourbier inextricable.

Or notre président, à l’instar de son prédécesseur, a engagé nos troupes françaises dans ce merdier sans même l’aval du parlement alors qu’il savait pertinemment que le théâtre des opérations nécessite une bonne dizaine d’année pour se stabiliser.

Ainsi, il met au pied du mur le pouvoir législatif d’accepter le financement du déploiement des troupes dans ce pays car il est techniquement impossible de se retirer maintenant sans risquer un gigantesque bain de sang.

J’espère que la justice divine châtiera un jour tous ces menteurs « et/ou » voleurs qui nous gouvernent…