Personnellement, je suis prêt à mettre un petit billet sur la victoire des organismes antiracistes sponsorisés par l’état français comme grands gagnants de ce duel au sommet.
C’est marrant de voir qu’il y a encore des imbéciles qui pensent que leur association antiraciste destinée à défendre seulement la cause noire puissent remporter un bras de fer face à la LICRA. Il suffit de se remémorer la tentative avortée d’obtenir des indemnités sur la traite négrière par des responsables caribéens à l’ONU (cf. http://www.lemonde.fr/ameriques/art...) ou encore la fameuse assignation en justice de l’état français par l’organisation nommée CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires de France).
Pour cette dernière, notre cher président avait botté en touche en leur signifiant que le préjudice de la traite négrière était si grand qu’il ne pouvait être quantifié en espèce sonnante et trébuchante.
A ce jour, ces ardents défenseurs de la souffrance noire peuvent tout au plus s’interroger sur le sens étymologique de la lettre « L » présente dans l’acronyme « LICRA » mais rien de plus. Ici, c’est : « Circulez, il n’y a rien à voir ».
En plus, la LICRA a dans sa manche un atout de choix représentant la cause afro-caribéenne à lui tout seul en la personne de Lilian THURAM, MERDE QUAND MÊME ?!... Dois-je vous rappeler que ce type a été décisif face à la Croatie en marquant deux buts incroyables en 1998 ?
Si j’étais à la place des détracteurs de cette œuvre artistique (?), je m’amuserai à tester la tolérance artistique de toutes ces officines de la bien-pensance en montant une pièce équivalente mais cette fois traitant de la condition des noirs en Israël (stérilisations forcées des éthiopiennes, stigmatisation des clandestins etc.). Ce serait marrant de voir la gueule des membres de la LICRA face à leur contradiction. Enfin moi je dis ça, je ne dis rien…