puisque j’y suis... sur les origines de la F.M. :
Tout est dans le "Bourgeois Gentilhomme" !
 avec la naissance du monde moderne, c’est à dire du monde de la matière, nos sociétés se sont restructurées. Abandonnant les ordres traditionnels au profit d’une hiérarchie de classes.
La "bourgeoisie" apparaît, classe dominante, celle qui détient la production. ok ! classique.
 mais ces nouveaux seigneurs ne pouvaient effacer de nombreux millénaires de tradition, tout imprégnés eux mêmes des valeurs de cette Tradition.
Ils l’on singée ! tout simplement.
Logique : la propriété, l’argent, la domination sur la matière, dans leur esprit peut être étendue à toute chose ! C’est à dire : à la connaissance, à la noblesse, à l’honneur...
ils ont acheté les affaires de la connaissance, de l’esprit, ont pensé posséder tout cela, mais... il ne leur est resté que les apparences, et ils ont du singer, faire semblant, faire croire.
C’est ainsi que "culture" est devenu synonyme de divertissement, de spectacle au lieu de connaissance. Par exemple, et c’est toujours ainsi aujourd’hui.
C’est ainsi qu’ils ont acheté la science, qui en est morte, à coup de milliards stérilisés.

 La Franc-maçonnerie est une appropriation des rites des confréries traditionnelles, singée dans des salons bourgeois. Le bourgeois gentilhomme fait du sacré comme de la prose...
Suffit de lire les Désagulier, Anderson & cie
La caractère secret est une très ancienne tradition, de toutes les traditions. Naturellement. Chez les F.M. ce n’est plus que grotesque, et surtout instrument utile.

 Nombre de maçons, y viennent rechercher une trace des valeurs traditionnelles, un peu comme on entrerait dans un musée national. Et peuvent y passer leur vie à chercher dans les recoins...
Malheureusement, la connaissance ne se donne pas ainsi... parce que rien n’est accordé si l’on a oublié que tout procède du Très-Haut...

Bref : ne pas oublier que les maçons sont aussi stupides devant la science traditionnelle qu’un PDG devant un plug anal vert fluo... ou que le bourgeois gentilhomme devant la poésie...

M/