L’article me laisse sur ma faim. Il résume assez bien ce qu’il faut penser de cette machination, mais pour les reste, l’auteur tape à côté : parler de rechristianiser le pays ou renvoyer les immigrés chez eux est une folie douce. D’abord parce que nous n’avons plus de pays : le voici ouvert aux quatre vents, livré aux prédateurs de toutes nationalités, repaire de délinquants d’en haut et d’en bas et destination préférée des touristes chinois...la France chérie des années 50 et 60 est morte (aussi morte que Georges Brassens ou Maurice Chevalier ) et ne reviendra pas ; et le catholicisme avec lui - puisqu’ils ne faisaient qu’un...
Quant à la remigration, elle est déjà difficile à théoriser et encore plus difficile à mettre en oeuvre : qui doit partir, qui doit rester ? sur quels critères ? le crime collectif n’existant pas en France, cela ne peut se faire qu’au cas par cas...comment renvoyer un Camerounais - avec femme et enfant - dans un pays où le salaire mensuel n’atteint pas 100 euros par mois ? cette question mettre deux décennies - au moins - à être tranchée ; d’ici là, la France aura cessé d’exister depuis longtemps !!! Avant de faire la Révolution, il convient de penser lucidement et de rompre avec les nostalgies du passé qui ne sont, n’ont jamais été, que des voies de garage. Courir après le système est le plus sûr moyen de faire du surplace et il n’est pas d’exemple d’homme ou de groupes d’hommes ayant arrêté le cours de l’histoire...