Qu’ils ne se chiffonnent pas, à l’Élysée, on a très bien compris, la fin de semaine dernière, qui est le patron et qui est le valet.
Ils peuvent s’offusquer mais l’évidence est devant nos yeux, la France n’est plus qu’une région de l’empire américano sioniste et notre "président" un représentant de leurs intérêts et non de ceux du peuple français.
Le changement de ton du pouvoir devenu inique est consubstantiel à cette évidence d’occupation et de perte totale de notre souveraineté.
Etant vassaux, donc esclaves, toute idée de liberté dans notre beau pays s’évanouit totalement et c’est la raison pour laquelle, dans notre monde d’inversion des valeurs, ils ont fait cette "marche" pour la liberté dimanche.
En réalité, nous venons d’assister à la mort de la liberté et à la naissance d’un nouveau totalitarisme. Le "je suis charlie" en est une preuve car, qu’adviendra-t-il de ceux qui ne sont pas charlie ? Ceux qui refusent qu’on use des morts pour justifier quelconque politique.
Vont ils être ostracisés ? poursuivis ? Traqués pour cause de non conformisme des abrutis bloqués dans l’émotionnel incapables d’avoir une vraie pensée politique et géopolitique.
Comme ce qu’ils font à Dieudo, qu’ils considèrent responsable car ils sont incapables de regarder dans un miroir afin de connaître les vrais responsables de l’état de déliquescence de notre vieille nation.
La politique n’est que le théâtre de la médiocrité totale de notre temps et à la vue de comment ces tristes sires réagissent, nous allons une fois de plus traverser ce que leurs homologues dans trente ans appelleront à nouveau lesheureslesplussombresdenotrehistoire...
Je finirai en citant un artiste que j’aime beaucoup malgré ses déboires et nos divergences de points de vue, Bertand Cantat :
"Infiniment se voir rouler dans la farine..." A l’envers, à l’endroit Noir désir