Il y a attentat et attentat
20 janvier 2015 20:52, par De passage
Partie 1
L’analyse peut paraitre digeste et intéressante, ce qu’elle est en partie. Mais beaucoup de points restent quand même branlants et insipides. L’occident est passé maître dans la stérilisation des consciences au point de faire valoir le préjugé comme règle, la roublardise comme moyen, le toc et le bling-bling comme artifice de séduction. C’est humain, j’en conviens, mais à un moment ou à un autre, si l’on tient à faire différent, à apporter un plus pour faire en sorte que l’intelligence l’emporte un tant soi peu sur le règne de la bêtise au sens noble du terme puisqu’elle est la donne dominante qui fait la règle et non une exception comme l’intelligence, il ne serait pas vain de se faire un lavage de cerveau par soi- même et regarder la réalité d’une manière impassible pour bien la comprendre dans la mesure du possible. Les choses et les événements sont toujours cadrer dans un cadre toujours plus large que celui qu’on voit, qui ne saute aux yeux ou que délimitent nos filtres de pensée, filtres dont personne ne peut dire qu’il n’en a pas. D’abord, il faut remarquer que l’information circule toujours dans un sens unique : des riches vers les pauvres, des pays industrialisés ou dit démocratiques vers les pays pauvres ou anciennement colonisés, pays dont les indépendances sont toujours hypothétiques. Et l’inverse est rare et même inexistant. Et en plus, l’information qui circule dans ces derniers pays est complètement biaisée, de telle sorte que les peuples de ces pays ne se voient pas mais se voient à travers le regard de l’occident qui par divers truchements (multinational et ONG) contrôlent leurs moyens de communication. Et toute résistance est vite stigmatisée et le pays concerné est mis sur les bons des pestiférés. Voici un cas récurrent de l’information baisais : Le GIA comme création de l’État Algérien est un préjugé typiquement français qui a finit par être inculqué à tous le peuple Algérien parce que les peuples raisonnent comme des enfants, il ne gobe une histoire que si elle arrive à désigner clairement le bon et le méchant.