La quenelle, une injure raciste ? Difficile à démontrer...
14 mars 2015 12:30, par Indépendances nationales
Ne serait-il pas temps de refuser le vocabulaire utilisé par le pouvoir judiciaire soumis, pour qualifier les paroles, écrits et actes qui déplaisent aux "élus" ?
Car ce que les larbins qualifient de "incitation à la haine", "provocation à la discrimination", "injures publiques à caractère raciste", "injure publique en raison de l’appartenance à un groupe" sont en réalité "incitation à l’insoumission", "provocation à la révolte", "apostrophes aux puissants", voire "crachats à l’occupant".
Réintroduire ainsi de la lutte des classes (ne serait-ce que dans le vocabulaire) démontrerait que les prévenus ne sont pas d’"extrême-droite" (qui au contraire sert toujours les puissants) mais en réalité des résistants.