"Quenelle" à Berlin : Soral plaide la manipulation et la méprise, d’anciens déportés s’indignent
13 mars 2015 13:53, par Heureux qui, comme Ulysse...
Alain Soral a surtout insisté sur "le tigre de papier" que constitue le groupuscule présent de l’autre côté de la barre et qui "ne représente que lui-même", mettant ainsi en danger les "juifs du quotidien".
Il a aussi ajouté à l’endroit des magistrats -ce que la Présidente a feint de prendre pour une menace- que la mission de ceux-ci est de "rendre la Justice au nom du peuple français" et que ce même peuple était "avec lui".
Démonstration fut faite lorsque le public a massivement applaudi l’allocution impeccable d’Alain Soral (à qui l’on doit reconnaître une nouvelle sérénité lui ayant évité tout écart comportemental dont il était souvent coutumier) au grand dam de la Présidente et du colonel de Gendarmerie faisant office de portier (et malgré le peu d’enthousiasme que celui-ci avait manifesté pour offrir des places aux goyim pour cette audience) !
On relèvera même une touche de panache et d’humilité (là, c’était carrément inespéré de la part du nazi mégalomane) lorsqu’Alain Soral s’est tourné vers le public du tribunal politique pour le saluer bien bas !