Un grand merci à Jacques Sapir de mettre en avant ce phénomène beaucoup trop négligé par tous, y compris par des personnes qui prétendent s’occuper réellement du problème du chômage.
Pour préciser ma pensée, je fais remarquer qu’il est pour le moins ironique de prétendre lutter contre la délinquance quand il est évident que le chômage, mais pas seulement, engendre un accroissement des dépressions, qui provoquent elle-mêmes (mais pas systématiquement) une multiplication des cas d’alcoolisme et des problème de drogues.
Un bien joli coktail explosif, qui provoque également accidents de la route, drames familiaux, cancers. Bref, tout ce que nos irresponsables passent leur temps à chasser d’un côté, ils le provoquent de l’autre.
Rien de nouveau sous le soleil.