le latin, le grec, le patois ... des langues mortes qui ne peuvent intéresser que des linguistes et sociologues ou autres archéologues à une époque ou l’écrit ne se fait plus dans la pierre mais dans les nuages électroniques ... Est-ce bien raisonnable ? faire perdre des jours et des jours à des millions de jeunes cerveaux déjà bien malmenés par le yaourt médiatique et des programmes scolaires délirants et indigents.
aucune application concrète de ces idiomes alors que ces mêmes cerveaux enfumés et plein de vide se révèlent incapables de parler leur langue d’origine correctement et ignorent quasi tout des charmes de l’anglais, langue universelle et incontournable sur le web ;
par pitié apprenons utile et façonnons de beaux esprits logiques et cultivés par l’étude de beaux textes français, anglais, espagnols ou russes, voire grecs ou latins mais ceux-là traduits de façon à les rendre accessibles à tous ;
j’ai personnellement survécu à 4 ans de latin et autant de maths modernes, un autre fléau, qui n’ont laissé aucune trace et ne m’ont strictement rien apporté dans la dure réalité quotidienne ;
alors de grâce messeigneurs, faisons fi des langues mortes et cultivons le présent... et le futur des nos jeunes générations dont la matière grise a besoin de stimulants et pas de chloroforme gréco-latin..
et tant que nous y sommes exigeons de nos chers (très chers ;;) académiciens qu’ils fassent pour une fois un travail efficace en simplifiant la langue française qui en a bien besoin, amalgame de complexité, d’exceptions à des règles ridicules et d’absence totale d’harmonie qui la rendent d’approche délicate (euphémisme) pour nos enfants et les étrangers ;
bref soyons pour une fois efficaces et pragmatiques et descendons des blancs nuages qui recouvrent une réalité moins gréco-latine si c’est encore possible