Il serait temps d’admettre que la pédocriminalité est une activité non seulement courante mais obligatoire pour les zélites qui veulent manger dans la gamelle du pouvoir apparent lorsqu’il s’agit des degrés les plus élevés de la pyramide "républicaine" maçonnique.
Ainsi, lorsque que le zélu, bien aidé en cela par des substances propices, est impliqué dans le seul crime qui pourrait encore soulever la masse, ceux qui le soumettent peuvent brandir la menace d’une révélation (image à l’appui) qui le ferait sauter au moindre pet de travers !
D’ailleurs, quand ses maîtres décident de l’écarter de la scène, jamais le zélu ne se rebiffe depuis sa retraite dorée de haut fonctionnaire, le risque étant à vie pour lui. A la CIA comme dans la Mafia, on ne devient un ex-agent que lorsque la mort survient (naturelle ou par suicide "assisté") ! Et la règle, les agents la connaissent parfaitement !
Donc, une affaire comme celle-ci consiste non seulement à décrédibiliser la parole des victimes mais encore à convaincre la masse qu’elle est toujours le fait d’un individu isolé, jamais celui d’un réseau organisé impliquant le pouvoir réel.
De plus, ceux qui pensent que les ténors de la mafia des barreaux viennent défendre les lampistes ou rabatteurs pour se faire mousser dans ce type d’affaires se trompent complètement. Ils ne sont là que pour veiller au grain et s’assurer, en fermant toutes les portes procédurales, que la vérité judiciaire sera toujours un rempart à la vérité tout court !
En cas d’éveil soudain de la masse, il ne faudrait pas que celle-ci ait l’audace d’envisager que des magistrats ne font pas toujours bien leur travail consistant à appliquer les lois iniques et scélérates (Rejeter la faute sur les autres, mais de qui tiennent-ils cette attitude ?) imposées à nous par un Parlement qui aime bien les enfants...