La justice française applique ici la charia, qui interdit de critiquer l’islam et même, comme dans ce cas, de dire simplement la vérité à son sujet.
Il faut toutefois convenir que la condamnation est légère, la mort étant une sentence plus commune pour ce genre de "crime" en pays musulman.
C’est probablement pourquoi les musulmans et leurs alliés (toute la classe politico-médiatique française) persistent à clamer, malgré la réalité qui voit l’islamisation exponentielle de la société française, que l’état discrimine les musulmans.
Car ce n’est que lorsque l’islam régnera partout sur la terre que celle-ci trouvera la paix, selon ce Coran qui devient, lentement mais sûrement, le livre sacré de leur République, l’un comme l’autre se prétendant universels et affirmant leur alliance.
Au mépris bien entendu de toute la culture et de toutes les traditions françaises.