Misère du divertissement politico-médiatique
6 janvier 2016 11:40, par Bryan
Le type a peut-être un peu trop ramené la sauce à lui dans son bouquin, c’est possible mais il n’aurait pas mené son combat sans une vraie envie de faire avancer les choses. Yann Moix se fait allumer. Normal. Il distille des petits poisons avec le plus grand sourire, ce qui est le propre du pervers. Ensuite, il se plaint de se faire lyncher et se victimise, ce qui est également le propre du pervers.