Revenu de base et corruption politique et/ou incompétence
Au vu de cette stratégie de la carotte et du bâton mise en œuvre par les lobbies ultralibéraux US et les mafias financières et numériques de Palo Alto, il devient alors intéressant d’analyser le discours des politiciens français pour y déceler éventuellement les symptômes d’une soumission tacite et lâche à ces lobbies « maffieux » (voir l’espionnage sordide de la NSA et des micro-drones, pour les candides qui en douteraient encore).
Lorsqu’un politicien fait ostensiblement la promotion, face au citoyen français ou européen, de ce gros « piège à gogos » que constitue ce bricolage comptable politiquement suicidaire pour l’état et le peuple, il ne présente à l’analyse critique que trois interprétations possibles :
1. soit il est viscéralement corrompu par les lobbies américains et moralement indigne de représenter les citoyens qui l’ont élu ;
2. soit son incompétence est patente quant à sa compréhension stratégique internationale et à son aptitude à s’entourer de collaborateurs fiables ; ceci le rend tout aussi indigne mais techniquement ;
3. soit il cumule ces deux tares et se montre alors indigne, moralement et techniquement, d’accéder à des responsabilités politiques.
Quelle que soit la raison de cette dérive politique manifeste (morale et/ou technique), les citoyens français ne peuvent continuer à faire aveuglément confiance à des élus qui bradent la France aux lobbies américains.
Mittal a déjà démantelé la sidérurgie européenne en vénérant un dieu hindou de la prospérité et en laissant Goldman Sachs le mener par le bout du nez.
Lloyd Blanckfein affirme accomplir « l’œuvre de dieu » et la devise des pères maçons bâtisseurs de la nation américaine était aussi « In god we trust » !
Sommes-nous certains d’adorer en France le même dieu que Goldman Sachs ?