Un ouvrier français ouvre sa gueule contre le “terrorisme” de l’oligarchie financière
11 juin 2016 20:32, par MateMouais...
Discours un peu trop généraliste et vague pour que j’y donne beaucoup de crédit (sans jeu de mots).
Qui est il, ou bosse-t-il, pour qui vote-t-il ?
Est il européiste ? Internationaliste ?
Je serais curieux de le savoir.
Il dénonce les parasites du haut, ok.
Moi, je n’oublie pas non plus les parasites du bas. Ceux à qui le produit de MON travail va en en grande partie.
Le "socialisme scientifique", dont les syndicats rouges se réclament (CGT, Sud en tete) , oppose l’idéal bourgeois qui est un idéal d’oisiveté à l’idéal socialiste qui est un idéal de travail"...
Sur cette description, je me sentirais totalement Socialiste... Mais j’affirme qu’il y a bien longtemps que Socialistes, Communistes, Troskistes, etc.. ont trahi cet idéal et aspirent à l’oisiveté.
Des petits bourgeois.
Petits, certes, mais bourgeois ; car oisifs, la médiocrité en prime.
Des rentiers du "Service Publique" (comprendre "on se sert sur le bien public) :
Pratiquer le racket et le clientélisme pour vider les caisses de l’Etat en glanant des privilèges*.
Et au sommet de la pyramide de ses petits rentiers, les syndicalistes. Qui eux, ne travaillent pas du tout, n’exercent aucune réelle activité professionnelle.
* Le service de la dette, qui est la prédation des rentiers du haut (et encore, à nuancer... Je ne suis pas sur que quiconque possède une assurance vie soit un rentier du haut), c’est un peu moins de 50 Milliards annuels.
Pas négligeable.
Mais remettre ces 50 Milliards au budget de l’équilibrerait pas du tout. On fait toujours 100Milliards de déficit par an au bas mot ! Et encore, seulement 100Milliards parce qu’on rogne encore et encore sur l’Armée, la Justice, la Police, Les investissements lourds, la recherche scientifique, les soins, et également parce que l’Etat vend des milliards et des milliards d’euros d’actifs chaque année...). Ce qui plombe les finances, c’est la masse phénoménale de gens dans la fonction publique qu’elle soit territoriale ou d’Etat, dans les entreprises ayant cette "culture" (EDF, ERDF, SNCF, La Poste, Air France, RATP), gens dont un nombre conséquent n’est absolument pas indispensable et qui jouit d’avantages absolument sidérants (congés, montant et durée des retraites et, ne leur en déplaisent, des salaires significativement supérieurs)...