Il y aurait beaucoup d’autres choses à dire sur cette investiture, comme par exemple :
que Trump a collecté une somme considérable de dons (plus d’Obama sur ces 2 investitures cumulées), qu’il est personnellement très (trop) impliqué dans cette investiture, que le style retenu a volontairement été populaire (façon bal des pompiers américain).
Source : truepundit.com (favorable au républicain, qui compile diverses sources)
En face, de nombreux célébrités ont refusé de participer... ou de contribuer. En particulier, il y a eu des appels à s’opposer voir à faire déraper cette investiture... en plus de la pression médiatique et politique incessante.
Avec, en particulier des groupes (de type anti-fa, etc) qui s’organisent activement et publiquement pour y arriver (source : zeroedge.com). D’ailleurs, on a aussi noté de ci et là des appels à la violence physique contre Trump ou ses supporters (Trump = Hitler, etc) (source : divers).
Enfin, il va de soi, qu’un risque d’attentat n’est pas à exclure contre les terroristes de service (voir les prises de position anti-ISIS, etc). Avec un détail curieux (source : truepundit), le général en charge de la garde nationale doit quitter son job ce jour là.
Quoi qu’il en soit, il semble que ce sujet soit plutôt "tabou" dans la presse mainstream, à la différence des attaques contre le nouveau POTUS.
Bref, tout cela fait que nous sommes bel et bien devant une situation absolument sans précédent aux US (source : dedefensa.org), renforcé par le "déni" des démocrates et des média, cad leur difficulté à se conformer aux résultats des élections.
En fait, c’est la majorité de "l’élite" de Washington DC, et les différents organes du pouvoir US, qui n’est (encore) pas prêt à suivre le leadership du président US et ses nouvelles orientations politiques.