Harcèlement sexuel par les "racisés" : le gros bug féminisme-antiracisme
2 octobre 2017 19:53, par Mercure Okrom
C’est quoi la suite ? Revenir aux écoles non-mixtes ? Une police des mœurs pour veiller à ce que nul homme n’adresse la parole à une femme dans la rue ?
Paris deviendra Kaboul-sur-Seine si j’ai bien compris.
On cantonnera ensuite les rencontres aux espaces virtuel du type Adopte-un-mec ou l’homme n’est qu’une marchandise que l’on met dans son caddie (bizarrement ça les dérange moins les féministes connectées pour le coup). Bah oui : avec ces féministes 2.0, pour pouvoir parler à une femme, il faut attendre qu’elle te parle... Charmant programme.
Pourtant les dispositions légales actuelles suffisent pour punir le harcèlement sexuel et les insultes.
Quand à Libé qui racialise la "rue" ça me fait doucement rire. La rue n’a pas de race, c’est le lieu de rencontre de tous les possibles depuis que la vie citadine existe. Rien de mieux que la rue pour faire des rencontres (que certaines femmes ne refuseraient pas d’ailleurs, mais ce sont les plus bruyantes et les plus mal embouchées qui décideront pour elles).